阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

retrouver ce média sur www.ina.fr

commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, June 13, 2010

Algerie croissance


La croissance retrouvée
Tout n’est pas venu d’un coup, comme le fruit du hasard, pour un pays qui a connu une longue, trop longue traversée du désert, avec sa décennie noire des années 90 et celle qui a suivi laissant les Algériens face à eux-mêmes résignés, au bord du désespoir et sans avenir. Ce que nous observons comme progrès économique, développement humain et mutations sociales profonds en Algérie est le produit d’un projet de société conçu pour faire de l’Algérie en deux ou trois quinquennats l’un des pays les plus modernes et les mieux administrés de la rive Sud de la Méditerranée. De victoire en victoire, pas seulement sur le terrain du foot avec la brillante qualification de l’Equipe nationale au Mondial sud-africain, ce qui reste toutefois un indice de ce qui se fait au plan global, notre pays a fini par récolter les fruits d’une décennie d’efforts, de sacrifices même, qui lui donnent les meilleures raisons d’espérer en un avenir de progrès économique et de stabilité sociale. Une stabilité qui est d’abord institutionnelle. C’est grâce à ces réformes engagées par le Président Bouteflika destinées à donner à l’Etat ses instruments les plus efficaces et les plus appropriés aux choix fondamentaux que le pays s’était fixés, que les objectifs lancés dans le cadre du premier quinquennat ont été atteints. C’est grâce, aussi, à ces moyens institutionnels que le gouvernement Ouyahia négocie au mieux des intérêts du pays les objectifs fixés à l’horizon 2014 qui sont considérés comme les éléments de base pour une économie émergente de premier plan. Ces dernières années ont été celles des victoires sur le retard économique et social, sur la paralysie globale enregistrée à une période d’au moins 20 ans. Le Président Bouteflika qui a misé dès le départ sur les réformes institutionnelles par la modernisation a donné à l’exécutif gouvernemental une stabilité qui lui permet d’être efficace dans la mise en œuvre de l’ambitieux programme du quinquennat en cours, jamais encore lancé par un pays de la sphère Sud de la Méditerranée.Toutes les prévisions sur la croissance économique en Algérie sont positives. Les prévisions du FMI suivies des récentes estimations de la Banque Mondiale pour les cinq années en cours permettent les mêmes pronostics que le gouvernement algérien avait avancés, l’année en cours. Dans les rapports des plus importantes institutions internationales, l’Algérie figure parmi les pays qui ont le mieux négocié les réformes qui s’imposaient économique et politique. Son taux de croissance de 4,6% est, en fait, le même indice d’une décennie de stabilité institutionnelle et d’efforts d’investissement engagés par l’Etat durant les deux précédents mandats présidentiels et pour celui qui est en cours qui traduit le rythme de développement enregistré dans notre pays qui a misé sur une relance globale de l’activité économique qui a nécessité une enveloppe de 286 milliards de dollars pour le quinquennat 2010-2014. La bonne santé financière, la politique de désendettement, et la stabilité sociale sont des facteurs qui ont impulsé le fonctionnement harmonieux du mécanisme institutionnel mis en place, pour le redéploiement de l’appareil administratif, de sa modernisation, pour le rendre plus adapté aux objectifs que le pays s’est fixé depuis 1999. L’Algérie a su réformer ses institutions, mieux gérer ses finances et se fixer des objectifs économiques et sociaux en rapport avec son ambition de pays émergent dans un environnement mondialisé. La discipline a certainement été la clé qui a ouvert la voie à l’impulsion globale des réformes. Le Chef de l’Etat a, dès le départ fixé la règle du jeu et exigé l’effort collectif, pour l’ensemble des parties impliquées dans la réalisation des défis de la nouvelle Algérie. Il est hors de question de continuer à fonctionner sur les normes du passé. Ce message adressé aux opérateurs économiques impliqués dans cette gigantesque opération de relance économique pour une croissance durable - après que celle-ci eut été négative avant les années 2000 – a été appliqué au pied de lettre. On n’observe plus les phénomènes qui ont ruiné depuis le début de l’indépendance la notion de compétitivité, la recherche du savoir-faire technologique, le respect des coûts des projets et des délais de réalisation, ou encore la qualité du produit. La règle du jeu fixé, chacun savait ce qu’il devait faire. 4,6% de croissance, peut mieux encore, sera une bonne performance, surtout à un moment où les pays les plus industrialisés ne font pas de PIB au-dessus de 8%. L’Algérie est en mesure de mieux faire encore. Une infrastructure de base moderne existe et se renforce. A ce rythme, et avec des ambitions qui sont celles du plan quinquennal en cours, toutes les prévisions de croissance seront certainement dépassées d’ici à 2014. C’est le temps des victoires qui viennent faire oublier les deux décennies de retard enregistrées dans les années 80 et 90.B. H.

No comments: