Les sociétés françaises vont surtout mener des projets énergétiques, selon le vice-président directeur général du Medef, Thierry Courtaigne.
"Les entreprises françaises viennent en Algérie avec de nouveaux investissements de l'ordre de 5 milliards de dollars dans les années à venir, dont la moitié pour des projets énergétiques", a déclaré le vice-président directeur général du Medef (patronat français) Thierry Courtaigne. Le représentant du patronnat français s'exprimait lundi à Algre lors d'une rencontre entre une délégation de 60 membres du Medef conduite par sa présidente Laurence Parisot.
De son côté, François Périgot, ancien patron des patrons français a indiqué que les entreprises françaises "s'inscrivent dans le long terme sur le marché algérien". Le président du FCE (patronat algérien) Réda Hamiani a affirmé pour sa part que cette rencontre "doit renforcer la confiance entre nos entreprises et influer positivement sur l'évolution qualitative et quantitative de notre partenariat".
M. Hamiani a précisé que "partout (à travers le monde) et en raison de la crise économique mondiale, les Etats prennent des mesures qu'ils jugent opportunes pour préserver les progrès accomplis et amortir les incidences engendrées par la crise au plan économique", en allusion à la loi de Finances complémentaire" (LFC) algérienne 2009. Alger a adopté fin juillet une loi de finances complémentaire qui durcit les modalités d'importation des marchandises.
G. G. avec AFP
"Les entreprises françaises viennent en Algérie avec de nouveaux investissements de l'ordre de 5 milliards de dollars dans les années à venir, dont la moitié pour des projets énergétiques", a déclaré le vice-président directeur général du Medef (patronat français) Thierry Courtaigne. Le représentant du patronnat français s'exprimait lundi à Algre lors d'une rencontre entre une délégation de 60 membres du Medef conduite par sa présidente Laurence Parisot.
De son côté, François Périgot, ancien patron des patrons français a indiqué que les entreprises françaises "s'inscrivent dans le long terme sur le marché algérien". Le président du FCE (patronat algérien) Réda Hamiani a affirmé pour sa part que cette rencontre "doit renforcer la confiance entre nos entreprises et influer positivement sur l'évolution qualitative et quantitative de notre partenariat".
M. Hamiani a précisé que "partout (à travers le monde) et en raison de la crise économique mondiale, les Etats prennent des mesures qu'ils jugent opportunes pour préserver les progrès accomplis et amortir les incidences engendrées par la crise au plan économique", en allusion à la loi de Finances complémentaire" (LFC) algérienne 2009. Alger a adopté fin juillet une loi de finances complémentaire qui durcit les modalités d'importation des marchandises.
G. G. avec AFP
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