Wednesday, January 12, 2011
Europe faillite crise 2011 2012 2017 dailymotion
Conseil publié
- Source : www.bourseanticipations.com
La crise des déficits souverains est lancée et c'est très certainement une machine infernale qui s'est mise en route. Rien ne l'arrêtera tant qu'elle aura quelque chose à broyer…
C'est dans la logique planétaire du conflit Saturne-Pluton, ce cycle étant décroissant depuis 2001 avec le krach Internet et arrivé cette année au stade de son dernier carré qui est le plus destructeur; c'est aussi dans la logique de la montée en puissance du redoutable carré Uranus-Pluton qui aboutira à son potentiel négatif maximal entre 2012 et 2017.
Déficits insondables, hausse absurde de la fiscalité et des taux d'intérêts qui vont enterrer toute croissance : voici le menu des réjouissances dont on prend seulement un peu conscience, mais qui va s'étaler sur de bien longues années… Avec ses conséquences politiques et sociales, la montée de l'extrême-droite (comme aux dernières législatives au Pays-Bas) allant de pair avec une radicalisation sociale en raison des coupes claires dans les prestations d'assurance et d'assistance.
Compte tenu du très lourd contexte de ce printemps et surtout de l'été 2010, on peut se demander dans quelle mesure cette crise des déficits ne va pas déjà atteindre un premier seuil franchement aigu sur les mois à venir. Au mois d'août, l'ensemble de l'Union Européenne pourrait alors se retrouver en état d'insolvabilité…
Précisons qu'il s'agit uniquement d'une "hypothèse possible"… Précisons encore que cet article a uniquement pour but d'explorer cette simple hypothèse et de la pousser jusqu'au bout, c'est à dire jusqu'à son ultime logique. Il ne s'agit donc nullement d'une prévision, mais simplement de l'esquisse d'un schéma potentiel qui se concrétisera ou non.
Admettons donc que la crise des déficits atteigne sur les prochains mois ce que l'on juge encore aujourd'hui inimaginable, donc un état de faillite de l'ensemble du continent européen. En fait, on peut même aller jusqu'à envisager que les Etats-Unis soient également touchés, si l'on recherche le pire scénario possible. Possible seulement, certes, mais pas à exclure catégoriquement en raison du contexte de conflits planétaires majeurs de la période actuelle et notamment de l'été à venir…
Admettons donc que les pays développés ou à tout le moins le continent européen se retrouve en faillite sur les prochaines semaines. Les conséquences d'une telle situation seraient alors vite tirées : une inévitable rechute en récession du Vieux Continent et, très probablement, une récession qui serait alors épouvantable et bien pire que celle de 2008-2009… De surcroît, tout redémarrage de la croissance en Europe serait renvoyé des années et des années plus tard, le temps d'éponger des dettes totalement ingérables à cause du haut niveau atteint par les taux d'intérêts. Les entreprises et les ménages seraient alors étranglés pour une longue période…
Un tel scénario est le pire que l'on puisse envisager, car c'est la faillite entière d'un continent qui se produirait. Un événement évidemment historique… Mais est-ce possible ou, plus exactement, un tel scénario ne pourrait-il pas être corrigé ou empêché ?
Si l'Europe se retrouvait en faillite, il n'y a pas que les Européens qui seraient épouvantés. Les Etats-Unis trembleraient alors pour leur fragile reprise économique, tandis que les BRIC (pays émergents, notamment Brésil, Chine, Inde, etc.) ne seraient pas moins effrayés des conséquences pour leurs propres économies. On ne peut en effet isoler l'Europe du reste de la planète, alors que l'économie est totalement mondialisée.
Le scénario d'une faillite de l'Europe ne serait pas empêché par le fonds de stabilisation décidé après la faillite de la Grèce (les 750 milliards d'euros seraient vite insuffisants), et pas davantage par les artifices de la BCE en matière d'émissions obligataires. En revanche, il pourrait l'être par une intervention concertée au plan mondial, les pays émergents étant finalement les seuls à pouvoir sauver les pays occidentaux en raison de leurs immenses excédents commerciaux et de leur robuste croissance économique.
En nous penchant astrologiquement sur les mois à venir, notamment les mois de septembre et octobre, il apparaît que l'on voit un Neptune qui va se trouver progressivement mis en valeur. Or, cette planète, notamment dans sa relation positive à Uranus, favorise la concertation économique et politique au plan international. S'il y avait donc besoin d'un plan concerté pour sauver l'Europe de ses déficits, on peut penser que les conditions seraient alors réunies "potentiellement" pour un accord international, probablement sous l'égide du FMI.
Toujours en poussant ce qui n'est qu'une hypothèse parmi d'autres, on aboutirait alors à un accord historique pour régler une crise aigue des déficits en Occident. Cela n'empêcherait pas ces mêmes déficits de continuer à peser sur les années suivantes, puisque le carré Uranus-Pluton s'installera définitivement à partir de 2012 seulement. Mais cela aurait au moins l'avantage d'éviter une faillite immédiate et généralisée, ce qui consacrerait par ailleurs le déclin irrémédiable de l'Occident au profit de l'Asie.
Une telle hypothèse nous semble mériter d'être envisagée car, vu le contexte planétaire terriblement explosif de la période actuelle, on ne peut exclure cet été d'aboutir à un vrai drame en matière de déficits souverains. Dans ce cas, une solution possible au plan économique comme astrologique serait celle que nous venons d'évoquer. Elle permettrait d'éviter le pire…
L'Europe en faillite
envoyé par Antipenseunique. - L'actualité du moment en vidéo.
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
No comments:
Post a Comment