Les pays riches examinent, pendant deux jours à Washington, les moyens de coopérer pour passer à l'énergie propre.
À l'invitation du président américain, Barack Obama, les ministres de l'énergie et les hauts responsables de 21 pays se sont rassemblés à Washington, hier, pour un sommet sur l'énergie et le climat. Prévue sur deux jours, cette réunion devrait être l'occasion pour les principales économies mondiales, qui produisent 80% du PIB mondial, d'annoncer des initiatives conjointes. AgirLe sommet a débuté par des mises en garde de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), qui appelle, par la voix de son directeur, Nobuo Tanaka, à des «changements majeurs dans la façon dont nous produisons et nous utilisons l'énergie». Sans cela, a-t-il poursuivi, «nous allons faire face à d'importants risques pour notre sécurité énergétique commune, et l'avenir de notre environnement». Parmi les domaines abordés, les participants évoqueront les normes d'efficacité énergétique, l'énergie solaire et éolienne, et les moyens de fournir de l'énergie à ceux qui n'en ont pas. «L'objectif ici n'est pas de discuter de ce sur quoi nous pourrions être d'accord», a dit le secrétaire américain à l'Énergie, Steven Chu. «Notre objectif ici est d'agir», a-t-il affirmé.
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