阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"
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Friday, April 02, 2010

Maroc Casablanca théâtre festival




Festival
«Allons au théâtre» à Casablanca
Une quatrième édition plus ouverte et plus éclectique

Les portes des théâtres de Casablanca s'ouvrent de nouveau devant le public. Habitués à une rare activité, ces espaces censés être des scènes de création et de production renouent avec les amateurs du quatrième art, au moins pour les dix jours que durera la quatrième édition du festival « Allons au théâtre ».
Organisé par la Fondation des Arts Vivants du 9 au 18 avril, ce rendez-vous annuel qui célèbre le théâtre marocain revient pour redonner vie aux scènes de la ville, pousser les gens à s'y rendre en masse et passer de véritables moments de plaisir. Le festival lance encore une fois une invitation ouverte au public mais ne présente pas ses spectacles gratuitement. Les billets sont en effet de 20 DH et de 10 Dh pour les étudiants. La nouvelle directrice de la fondation, Amel Abou El Eezm, explique ce choix « Nous voulons que le public paye pour consommer l'art d'autant plus que les prix restent symboliques. » Visant à promouvoir le théâtre, honorer ses vétérans et encourager ses jeunes talents, «Allons au théâtre» propose un programme alléchant. Amal Ayouch, la directrice artistique du festival nous explique la ligne directrice «Nous avons choisi le meilleur de la scène nationale avec ses vétérans et grandes figures dont Abdeljebbar Louzir ou encore la troupe du théâtre national de Rabat avec Mohamed Al Jem, mais aussi les toutes dernières expériences venues enrichir le théâtre marocain créant une dynamique innovante. Pour la nouveauté de cette édition, nous présentons une pièce du théâtre amazigh « Taslit n uz'rou », un spectacle de rue et une rencontre autour de la scène théâtrale marocaine, de ses enjeux actuels et de ses perspectives. Nous invitons également des acteurs marocains de l'étranger.» Le menu de cette édition sert un cocktail varié qui regroupe tous les genres. La Fondation des Arts Vivants met à l'honneur le théâtre marocain dans sa diversité. Du théâtre populaire au théâtre moderne en passant par le burlesque, l'absurde, le théâtre de rue, le théâtre militant et des spectacles vivants… il y en a pour tous les goûts, pour les grands et les petits. En arabe, en français ou en amazigh, une quinzaine de spectacles dévoilera le meilleur des dernières créations théâtrales marocaines à Casablanca. En plus des théâtres du centre-ville et des quartiers périphériques, Allons au théâtre s'invite à la prison locale des femmes de Oukacha pour divertir une population qui ne peut la rejoindre. Assia Ouadii de la Fondation Mohammed VI pour la réinsertion des détenus déclare «La fondation considère que les prisonniers sont des citoyens comme les autres. Elle œuvre pour que les détenus profitent de tous les éléments pour une meilleure insertion dans le quotidien une fois qu'ils sont libres et l'art fait partie de ces éléments.» Casablanca accueillera également, et en avant-première, la troupe Dabateatr avec son produit phare « Khbar Fl'masrah » qui réjouira autant les nostalgiques de la verve des années 70 que les adeptes d'un Maroc qui bouge. «Li'fhamator» une adaptation originale de Ionesco, ou encore «3 nuits avec Madox» de Visniec une démarche où les comédiens décident de transgresser les règles de la scène pour venir jouer au plus près du public seront aussi de la fête. Le spectacle réunissant des Marocains d'ici et d'ailleurs «Douleur sous clé », les pièces «Tbourida», «Houwa», «Mama... tsabhi ala kheir», «âam nbeg », «Naker l'hssane» et bien d'autres œuvres théâtrales célèbrent le père des arts à Casablanca. Allons donc au théâtre !
Un festival engagéLe festival « Allons au Théâtre » consiste depuis plusieurs années à programmer les nouvelles créations théâtrales marocaines pour adultes et enfants dans différents espaces culturels de Casablanca. Le festival escompte ainsi de nombreux objectifs. Il cherche d'abord à dynamiser les offres culturelles et créer une ambiance artistique au sein de la ville de Casablanca, à drainer le public vers les théâtres en lui proposant des spectacles de qualité à des prix subventionnés, à encourager la créativité en donnant aux talents la possibilité de s'exprimer et favoriser la création de réseaux autour du théâtre. Ouvert à tous les publics, ce festival présente tous les genres du théâtre sans exception. Il répond ainsi à la célèbre citation de Jules Renard qu'il reprend comme une devise. « Nous voulons de la vie au théâtre, et du théâtre dans la vie.”

Thursday, April 01, 2010

La Banque du Maghreb



La Banque du Maghreb favorisera le développement de la région

Magharebia - Les ministres des Finances de la région inaugureront la Banque maghrébine d'investissement et de commerce extérieur cette année, a annoncé le ministre algérien des Finances Karim Djoudi, le mardi 16 mars.Le principal objectif de cette banque sera de créer une économie maghrébine intégrée en finançant des projets industriels et agricoles conjoints, a expliqué le ministre à Alger lors de la septième réunion du Conseil des ministres des Finances du Maghreb.Le ministre tunisien des Finances Mohamed Ridha Chalghoum a qualifié cette banque de "l'un des mécanismes les plus importants de coopération maghrébine dans le domaine des finances, et un pilier essentiel pour favoriser l'intégration économique et parvenir à un développement commun".La banque encouragera également les pays du Maghreb à augmenter leurs flux de capitaux tout en lançant des initiatives pour stimuler le commerce et le développement. Les projets présentés à la banque pour bénéficier d'un financement seront examinés en termes de retours financiers potentiels et de faisabilité économique.Le capital de cette banque est désormais fixé à 500 millions de dollars, chacun des pays membres apportant la même contribution que les autres.La création de cette banque constituera "un progrès tangible sur la voie de l'intégration économique", a expliqué Abdelhafid Mahmud Zulaytini, président de la Commission générale libyenne pour le Plan et les finances. Il a également expliqué que cette institution sera "une base supplémentaire pour l'investissement et les capacités de financement commercial des pays de l'Union [du Maghreb arabe]".Les ministres ont mis en garde sur le fait que, pour être un succès, cette banque devra être gérée de manière responsable.Zouhair Chorfi, directeur du Trésor et des financements extérieurs marocains, a expliqué que les autorités bancaires devront maintenir l'équilibre des finances au sein de cette institution, et étudier attentivement le détail économique de tous les projets proposés, ainsi que les besoins économiques individuels de chacun des pays membres.Les ministres des Finances de la région avaient d'abord suggéré la création d'une institution financière du Maghreb lors d'une réunion de l'Union du Maghreb arabe, il y a près de vingt ans.Le lancement de cette banque a été rendu possible par les progrès accomplis lors des négociations en décembre dernier à Tripoli, au cours desquelles les ministres du Maghreb "sont convenus de mettre en place la structure institutionnelle de l'Union du Maghreb arabe", selon le secrétaire général du Conseil de la Shura du Maghreb, le Dr Said Mkedem.Djoudi a expliqué que quatre principaux points de contention avaient été réglés lors de la rencontre d'Alger : la répartition des finances nécessaire au maintien d'un équilibre sain ; la définition des mécanismes de contrôle interne et externe ; l'accord sur la rotation des postes de directeur général et de président entre les pays membres ; et la détermination de la politique d'investissement de la banque.Les économistes considèrent ce lancement comme une première étape essentielle sur la voie de l'intégration du Maghreb et de la création d'un marché unique de plus de cent millions de consommateurs potentiels.L'intégration totale dépendra de la volonté politique des leaders du Maghreb, mais elle aurait un impact colossal si elle était réalisée, a expliqué Abderrahmane Mebtoul, un expert en économie, dans un entretien avec Magharebia le 16 mars.Salim Rahmani, un autre économiste, a quant à lui expliqué que la création de cette banque pourrait offrir une plus grande sécurité aux investisseurs arrivant sur le marché maghrébin, ce qui renforcerait à la fois les avantages commerciaux et financiers.

Wednesday, March 24, 2010

Apprendre la langue arabe tremplin pour la francophonie


Apprendre la langue arabe : un « enjeu stratégique Avec plus de 500 millions de locuteurs, l'arabe, langue officielle de vingt-deux pays, ...
se situe en cinquième position des langues les plus parlées dans le monde. « En France, c'est la deuxième langue parlée », rappelle Alfred Gaillardin, vice-président de l'Association France-Algérie (AFA). Une réalité ignorée par le système éducatif français, puisqu'elle reste très peu enseignée dans le secondaire.
Un paradoxe qu'entendaient soulever le Centre culturel du monde arabe (CCMA) et l'AFA, qui organisaient hier un colloque sur « l'apprentissage des langues du monde arabe », au centre Infocom de Roubaix. Ils plaident pour que l'arabe soit davantage enseigné dans l'Education nationale et au cours de la formation professionnelle.
« Aujourd'hui les gens sont obligés de se tourner vers les associations ou les mosquées pour apprendre l'arabe. Or, les professeurs ne sont pas toujours agrégés. Proposer un enseignement dans les collèges et les lycées permettrait en outre de lutter contre le communautarisme car l'intérêt pour cette langue dépasse largement les personnes d'origine arabe », indique Raoul Weexteen, secrétaire général de l'AFA.
Atout professionnel
Dans un monde multipolaire et multiculturel, « l'anglais et le français ne suffisent plus pour communiquer et échanger » , assure Cherifa Chaour, sociologue et chercheuse en sciences sociales. La maîtrise de l'arabe peut alors se révéler être un excellent « avantage comparatif ».
Elle offre de réels débouchés professionnels, des filières commerciales aux institutions internationales en passant par les médias. « S'ils veulent rester crédibles, les médias à vocation internationale doivent diffuser en arabe », affirme Agnès Levallois, ancienne journaliste à France 24. À l'image de la BBC, qui tire une plus forte reconnaissance depuis qu'elle diffuse des programmes en langue arabe. Euronews, puis plus récemment les médias chinois et russes, ont suivi et se sont lancés dans cette offre.
Il en va aussi de calculs géostratégiques. Faut-il rappeler les liens de la France avec le Maghreb, mais aussi plus largement avec les pays arabophones de l'Union pour la Méditerranée ? Et réciproquement, c'est un « tremplin pour la francophonie. En montrant de l'intérêt pour l'arabe, on renforce l'intérêt de ces pays à apprendre le français », explique Cherifa Chaour. Un système « gagnant-gagnant ». • AMANDA CHAPARRO

Thursday, March 18, 2010

Banque du Maghreb la région



La Banque du Maghreb favorisera le développement de la région
2010-03-18
La Banque du Maghreb, que les ministres des Finances de la région espèrent lancer cette année, viendra en appui aux projets destinés à renforcer le commerce et le développement.Par Walid Ramzi pour Magharebia à Alger –Les ministres des Finances de la région inaugureront la Banque maghrébine d'investissement et de commerce extérieur cette année, a annoncé le ministre algérien des Finances Karim Djoudi, le mardi 16 mars.
Le principal objectif de cette banque sera de créer une économie maghrébine intégrée en finançant des projets industriels et agricoles conjoints, a expliqué le ministre à Alger lors de la septième réunion du Conseil des ministres des Finances du Maghreb.
Le ministre tunisien des Finances Mohamed Ridha Chalghoum a qualifié cette banque de "l'un des mécanismes les plus importants de coopération maghrébine dans le domaine des finances, et un pilier essentiel pour favoriser l'intégration économique et parvenir à un développement commun".
La banque encouragera également les pays du Maghreb à augmenter leurs flux de capitaux tout en lançant des initiatives pour stimuler le commerce et le développement. Les projets présentés à la banque pour bénéficier d'un financement seront examinés en termes de retours financiers potentiels et de faisabilité économique.
Le capital de cette banque est désormais fixé à 500 millions de dollars, chacun des pays membres apportant la même contribution que les autres.
La création de cette banque constituera "un progrès tangible sur la voie de l'intégration économique", a expliqué Abdelhafid Mahmud Zulaytini, président de la Commission générale libyenne pour le Plan et les finances. Il a également expliqué que cette institution sera "une base supplémentaire pour l'investissement et les capacités de financement commercial des pays de l'Union [du Maghreb arabe]".
Les ministres ont mis en garde sur le fait que, pour être un succès, cette banque devra être gérée de manière responsable.
Zouhair Chorfi, directeur du Trésor et des financements extérieurs marocains, a expliqué que les autorités bancaires devront maintenir l'équilibre des finances au sein de cette institution, et étudier attentivement le détail économique de tous les projets proposés, ainsi que les besoins économiques individuels de chacun des pays membres.
Les ministres des Finances de la région avaient d'abord suggéré la création d'une institution financière du Maghreb lors d'une réunion de l'Union du Maghreb arabe, il y a près de vingt ans.
Le lancement de cette banque a été rendu possible par les progrès accomplis lors des négociations en décembre dernier à Tripoli, au cours desquelles les ministres du Maghreb "sont convenus de mettre en place la structure institutionnelle de l'Union du Maghreb arabe", selon le secrétaire général du Conseil de la Shura du Maghreb, le Dr Said Mkedem.Djoudi a expliqué que quatre principaux points de contention avaient été réglés lors de la rencontre d'Alger : la répartition des finances nécessaire au maintien d'un équilibre sain ; la définition des mécanismes de contrôle interne et externe ; l'accord sur la rotation des postes de directeur général et de président entre les pays membres ; et la détermination de la politique d'investissement de la banque.
Les économistes considèrent ce lancement comme une première étape essentielle sur la voie de l'intégration du Maghreb et de la création d'un marché unique de plus de cent millions de consommateurs potentiels.
L'intégration totale dépendra de la volonté politique des leaders du Maghreb, mais elle aurait un impact colossal si elle était réalisée, a expliqué Abderrahmane Mebtoul, un expert en économie, dans un entretien avec Magharebia le 16 mars.
Salim Rahmani, un autre économiste, a quant à lui expliqué que la création de cette banque pourrait offrir une plus grande sécurité aux investisseurs arrivant sur le marché maghrébin, ce qui renforcerait à la fois les avantages commerciaux et financiers

Saturday, March 13, 2010

Tunisie: OCI commission Européenne





Tunisie: OCI - Concurrence - Un environnement propice à l'investissement et à l'exportationLes politiques et le droit de la concurrence dans les pays membres de l'Organisation de la conférence islamique (OCI) : situation actuelle et perspectives», tel est le thème du séminaire ouvert, hier, à Tunis.
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Ce séminaire, dont les travaux se poursuivront jusqu'à demain, est organisé par le ministère du Commerce et de l'Artisanat et le Centre islamique pour le développement du commerce (Cidc), en collaboration avec l'Institut islamique de recherche et de formation relevant de la Banque islamique de développement (BID).
Le séminaire, auquel prennent part des experts de la Commission européenne, de l'Organisation de la coopération et du développement économique (Ocde) et la Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement (Cnuced), se propose de faire le point de l'Etat de droit et des politiques de concurrence dans les pays membres de l'OCI.
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Ouvrant le séminaire, M. Ridha Ben Mosbah, ministre du Commerce et de l'Artisanat, a affirmé que la mondialisation et la concurrence imposent aux pays islamiques la multiplication des efforts afin de mettre en place un environnement incitatif à l'investissement et à l'exportation, à travers, notamment, l'harmonisation des législations et leur adaptation aux normes internationales.
Il a appelé à engager une réflexion au niveau de l'OCI sur l'adoption d'une loi type inspirée de celle adoptée par la Cnuced sur la concurrence et le développement.
M. Ridha Ben Mosbah a souligné que sur le plan régional, la Tunisie a été à l'avant-garde en matière de concurrence et a développé une expertise qui lui a valu d'être retenue pour abriter le centre régional de la Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement pour la formation et la documentation dans le domaine de la concurrence L'expertise tunisienne en matière de concurrence a fait ainsi l'objet d'une étude approfondie, réalisée en 2009 par le Centre arabe de la primauté de la loi et de l'intégrité (Acrili). Cette étude a été effectuée dans le cadre d'un projet visant à renforcer les législations commerciales dans la région Mena (Moyen-Orient et Afrique du Nord).
Le ministre a rappelé, à ce sujet, que le programme présidentiel «Ensemble, relevons les défis 2009-2014» comporte plusieurs mesures visant à améliorer la compétitivité de l'économie, à accélérer le rythme de croissance et à protéger le consommateur, autant d'objectifs dont la réalisation demeure tributaire du développement des lois de la concurrence