Lancement officiel de la 5e édition à Tizi Ouzou
Par : Salah Yermèche
La 5e édition du Festival culturel arabo-africain de danses folkloriques a été lancée officiellement hier dans la grande salle de la maison de la Culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou par la représentante de la ministre de la Culture.
Après la parole de bienvenue du commissaire du festival, M. El Hadi Ould-Ali, directeur de wilaya de la culture, la cérémonie s’est déroulée en présence de représentants du wali de Tizi Ouzou, de l’APW, du chef de daïra, de députés, des élus et du président de l’APC de Tizi Ouzou, ainsi que de représentants de délégations étrangères, notamment du représentant personnel de l’ambassadeur de la Palestine en Algérie.La cérémonie d’ouverture n’a été effectuée qu’après un long défilé des 18 troupes participantes qui se sont ébranlées depuis la placette du stade du 1er-Novembre en faisant un détour par la ville des Genêts, à travers les rues Lamali, Abane-Ramdane, Mohand-Saïd Ouzeffoun et Houari-Boumediene, avant de pénétrer, sous un soleil de plomb, dans l’enceinte de la maison de la Culture. Prennent part à cette manifestation culturelle neuf troupes étrangères (Palestine, Tunisie, Côte d’Ivoire, Jordanie, France, Syrie, Sénégal, Mali et Guinée) et neuf autres nationales (Imsouhal, Beni Yenni, Illizi, Khenchela, Sidi Bel-Abbès, Mascara, Constantine, Tlemcen et Tizi Ouzou). Les populations de diverses communes et localités de la wilaya de Tizi Ouzou auront, au long de cette semaine, à savourer et à apprécier mille et un types de danses et spectacles folkloriques afro-berbéro-arabes. “Tizi Ouzou sera, durant cette semaine, une aire de fête, de joie, d’amitié et d’hospitalité qui ne manqueront pas de se propager vers d’autres localités de la wilaya”, dont bénéficieront aussi l’ensemble des participants et de nos hôtes, promet le commissaire du festival. Ce festival, qui durera du 17 au 21 juillet, verra également l’animation, à partir d’aujourd’hui, dimanche, de conférences sur plusieurs thèmes s’articulant notamment autour de “La symbolique dans les danses populaires africaines”, présentée par Mamoudou Sanounou Ibrahim, un jeune Nigérien chercheur indépendant sur les cultures africaines, “La symbolique dans la danse : une écriture chorégraphique du patrimoine tangible et intangible”, par le Togolais Adépo Yapo, directeur du développement et de la recherche du centre de recherches et analyses sur les corporations (CRAC) à Lomé. Toujours dans la matinée de la même journée (18 juillet), le Dr Bini Kouakou, directeur général de l’Institut national supérieur des arts et de l’action culturelle (INSAAC) en Côte d’Ivoire, présentera, de son côté, une conférence sur “La danse africaine et gestuelle : cas de la danse royale des Abron de Bondoukou”, tandis que M. Acho Weyer, directeur fondateur du festival international des théâtres sans frontières d’Abidjan (Côte d’Ivoire), animera sa conférence sous le thème “Le sens du blanc, du noir et du rouge dans les danses rituelles en Côte d’Ivoire”. Dans l’après-midi d’aujourd’hui, c’est un “atelier de danse traditionnelle au profit du public” qui sera animé pendant une heure et demie, par M. El Hadi Cheriffa, directeur artistique et chorégraphe de la compagnie Transdanse de Lyon (France). Demain lundi, ce sont les thèmes des “Danses rituelles dans les sociétés traditionnelles d’Afrique subsaharienne”, “La danse des masques : entre traditions et théâtralité” et “La danse du Ndaw Rabine des Pécheurs Lebou de Dakar et la danse du Varan chez les Serers du Sénégal”, qui seront développés respectivement par M. Tahirou Yacouba, chercheur nigérien, le professeur Salaka Sanou, de l’université de Ouagadougou (Burkina Faso), et M. Yahia N’Doye, directeur du festival des Éco-Arts du Sénégal
Après la parole de bienvenue du commissaire du festival, M. El Hadi Ould-Ali, directeur de wilaya de la culture, la cérémonie s’est déroulée en présence de représentants du wali de Tizi Ouzou, de l’APW, du chef de daïra, de députés, des élus et du président de l’APC de Tizi Ouzou, ainsi que de représentants de délégations étrangères, notamment du représentant personnel de l’ambassadeur de la Palestine en Algérie.La cérémonie d’ouverture n’a été effectuée qu’après un long défilé des 18 troupes participantes qui se sont ébranlées depuis la placette du stade du 1er-Novembre en faisant un détour par la ville des Genêts, à travers les rues Lamali, Abane-Ramdane, Mohand-Saïd Ouzeffoun et Houari-Boumediene, avant de pénétrer, sous un soleil de plomb, dans l’enceinte de la maison de la Culture. Prennent part à cette manifestation culturelle neuf troupes étrangères (Palestine, Tunisie, Côte d’Ivoire, Jordanie, France, Syrie, Sénégal, Mali et Guinée) et neuf autres nationales (Imsouhal, Beni Yenni, Illizi, Khenchela, Sidi Bel-Abbès, Mascara, Constantine, Tlemcen et Tizi Ouzou). Les populations de diverses communes et localités de la wilaya de Tizi Ouzou auront, au long de cette semaine, à savourer et à apprécier mille et un types de danses et spectacles folkloriques afro-berbéro-arabes. “Tizi Ouzou sera, durant cette semaine, une aire de fête, de joie, d’amitié et d’hospitalité qui ne manqueront pas de se propager vers d’autres localités de la wilaya”, dont bénéficieront aussi l’ensemble des participants et de nos hôtes, promet le commissaire du festival. Ce festival, qui durera du 17 au 21 juillet, verra également l’animation, à partir d’aujourd’hui, dimanche, de conférences sur plusieurs thèmes s’articulant notamment autour de “La symbolique dans les danses populaires africaines”, présentée par Mamoudou Sanounou Ibrahim, un jeune Nigérien chercheur indépendant sur les cultures africaines, “La symbolique dans la danse : une écriture chorégraphique du patrimoine tangible et intangible”, par le Togolais Adépo Yapo, directeur du développement et de la recherche du centre de recherches et analyses sur les corporations (CRAC) à Lomé. Toujours dans la matinée de la même journée (18 juillet), le Dr Bini Kouakou, directeur général de l’Institut national supérieur des arts et de l’action culturelle (INSAAC) en Côte d’Ivoire, présentera, de son côté, une conférence sur “La danse africaine et gestuelle : cas de la danse royale des Abron de Bondoukou”, tandis que M. Acho Weyer, directeur fondateur du festival international des théâtres sans frontières d’Abidjan (Côte d’Ivoire), animera sa conférence sous le thème “Le sens du blanc, du noir et du rouge dans les danses rituelles en Côte d’Ivoire”. Dans l’après-midi d’aujourd’hui, c’est un “atelier de danse traditionnelle au profit du public” qui sera animé pendant une heure et demie, par M. El Hadi Cheriffa, directeur artistique et chorégraphe de la compagnie Transdanse de Lyon (France). Demain lundi, ce sont les thèmes des “Danses rituelles dans les sociétés traditionnelles d’Afrique subsaharienne”, “La danse des masques : entre traditions et théâtralité” et “La danse du Ndaw Rabine des Pécheurs Lebou de Dakar et la danse du Varan chez les Serers du Sénégal”, qui seront développés respectivement par M. Tahirou Yacouba, chercheur nigérien, le professeur Salaka Sanou, de l’université de Ouagadougou (Burkina Faso), et M. Yahia N’Doye, directeur du festival des Éco-Arts du Sénégal
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