Les musiques d'Algérie ont une place de choix dans le programme de la dixième édition du Festival de musique de l'Institut du monde arabe (12-20 juin) à Paris, avec la chanteuse Houria Aïchi, des Aurès, ou les chanteurs Bouteldja Belkacem et Boutaïba S'Ghir, légendes du raï.
Les musiques d'Algérie ont une place de choix dans le programme de la dixième édition du Festival de musique de l'Institut du monde arabe (12-20 juin) à Paris, avec la chanteuse Houria Aïchi, des Aurès, ou les chanteurs Bouteldja Belkacem et Boutaïba S'Ghir, légendes du raï.
Houria Aïcha interprètera samedi un répertoire où l'on retrouve des chants séculaires des femmes de l'Aurès, des dhkirs, chants sacrés, ou des chants de bravoure et d'amour chevaleresques.
Le 18, ont rendez-vous sur la scène de l'Institut eux légendes du raï, Boutaïba S'Ghir et Bouteldja Belkacem. Ce dernier révolutionna, au sein des Clarks dans les années 70 en compagnie du trompettiste Bellemou, ce style musical parfois subversif, né à Oran dans les années 30.
Le Français d'origine algérienne Faudel, représentant la nouvelle génération d'un raï ouvert sur la chanson et la variété, se produira le 20.
La chanteuse de l'Atlas marocain Najat Aatabou, surnommée dans son pays "La lionne de l'Atlas", est à l'affiche le 19.
Le chanteur indien Pandit Shyam Sundar Goswami constituera dimanche la seule exception de ce programme axé sur l'Afrique du Nord.
Ce Bengali qui interprète le khyal, chant classique indien, sera accompagné à l'IRMA par deux musiciens, au sarangi et à la tampura.
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