阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

retrouver ce média sur www.ina.fr

commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, November 17, 2009

Le Président Barack Obama Internet web






INTERNET
Barack Obama enflamme le web
NOUVELOBS.COM 16.11.2009 Lors de sa visite en Chine, le président américain a réaffirmé son engagement en faveur d'un Internet libre et pour l'utilisation des réseaux comme Twitter. Il a toutefois concédé ne jamais avoir utilisé Twitter.
Barack Obama, lors de son discours devant des étudiants à Shanghai (Sipa) Le président américain Barack Obama a réaffirmé son engagement en faveur d'Internet, lundi 16 novembre, au premier jour d'un voyage officiel en Chine, l'un des pays qui restreint le plus l'accès au web. "J'ai toujours été un fervent partisan de l'Internet. Je suis un partisan farouche de l'absence de censure", a-t-il expliqué à Shanghai, précisant que des réseaux de socialisation comme Twitter devraient être disponibles partout."Les libertés d'expression et de culte et l'accès à l'information sont des droits universels. Ils devraient être accessibles à tous, y compris aux minorités ethniques et religieuses, que ce soit aux Etats-Unis, en Chine, ou ailleurs...", a lancé le président américain, mentionnant au passage la "Grande muraille de l'internet" présente en Chine.
Les internautes plébiscitent ObamaEn Chine, les sites de socialisation comme Twitter ou Facebook sont bloqués par les autorités chinoises depuis les émeutes meurtrières du Xinjiang musulman en juillet dernier. De plus, le gouvernement chinois a décidé que tous les ordinateurs vendus doivent être dotés d'un logiciel anti-pornographie. Logiciel pour le moins controversé puisque, selon des défenseurs des droits de l'homme, celui-ci sert également à bloquer des sites politiquement sensibles aux yeux du régime."Je pense que plus les flux d'information sont libres plus une société se fortifie", a plaidé le président américain. Les déclarations de Barack Obama en faveur de la liberté d'expression sur la toile ont été fortement plébiscitées par les internautes du monde entier. Au classement des requêtes sur le Google chinois, se classe désormais "Obama Shanghai" et surtout "What's Twitter" (Qu'est-ce que Twitter).
"Qui diable est @BarackObama ?"
Le compte Twitter de @BarackObamaReste que sur Twitter, la déclaration de Barack Obama qui a le plus retenue l'attention est : "Je n'ai jamais utilisé Twitter. Mes pouces sont trop maladroits pour taper des choses sur le téléphone".De nombreux internautes sont tombés des nues, alors que le compte Twitter du président est l'un des plus suivi avec 2,6 millions de followers. La phrase "I have never used" s'est rapidement classée parmi les sujets les plus traités, et se retrouve traduite dans toutes les langues.Sur le site de micro-blogging, on peut lire de nombreuses réactions de déceptions : "La fin d'un mythe...", souligne paill, "J'ai de la peine", confie lantsan2009 ou encore "Quelle horreur, le président [nous] ment !", lance SoyViggi. D'autres s'interrogent : "Qui diable est @BarackObama ?", questionne OfficialJuni, mais "Qui suis-je en train de suivre ?", demande hellofato.Le site TechCrunch souligne que si tout le monde sait que ce sont "des conseillers en communication" qui postent les messages sur les comptes Twitter et Facebook de Barack Obama, certains ont été surpris d'apprendre que le président "n'a jamais envoyé le moindre de ses tweets [messages sur Twitter, NDLR] pendant les élections". "Une partie d'entre eux voulaient croire que le président en personne avait envoyé les messages "This is history" [C'est historique, NDLR] le jour de son élection, ou encore "Humbled" [Humble, NDLR] après avoir reçu le prix Nobel de la Paix", note le site.
"Pourquoi les autorités chinoises bloquent-elles Facebook ?"Dernier point soulevé sur le web : les "dix questions que le président Barack Obama devraient poser à Hu Jintao". A l'intiative de Reporters Sans Frontières, les dix points ont été largement repris par les défenseurs des droits de l'homme en Chine, avec une première question pointant Internet : "Pourquoi les autorités chinoises bloquent-elles les sites Twitter et Facebook ?". Une question qui a, semble-t-il, intéressé le président américain, qui doit une large partie de son ascension à son utilisation d'Internet et des réseaux sociaux en particulier.(Boris Manenti - Nouvelobs.com)

No comments: