Friday, July 31, 2009
Thursday, July 30, 2009
L'Union pour la Méditerranée un an après. Quels progrès ?
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Wednesday, July 29, 2009
Eurochambres
Eurochambres est l'association européenne des Chambres de commerce et d’industrie.
Créée en 1958, elle regroupe aujourd'hui 45 associations nationales dotées d’un réseau de 2000 chambres locales ou régionales, représentant 19 millions d’entreprises en Europe. C'est l'une des plus importantes associations professionnelles européennes, aux côtés de BusinessEurope (anciennement UNICE) et d'UEAPME
Sa mission est de représenter et de promouvoir l'action des CCI en Europe, en menant une action de lobbying auprès des institutions communautaires, mais aussi en fournissant des services à ses membres.
Lors de son Congrès à Thessalonique en octobre 2006, un manifeste des Chambres a été adopté. Il vise à promouvoir au sein de l'Union européenne :
la création , le développement et la transmission des entreprises ;
la formation et l'éducation ;
l'internationalisation des entreprises européennes ;
l'innovation en Europe par le développement des clusters et du secteur énergétique.
Lors de son Congrès à Thessalonique en octobre 2006, un manifeste des Chambres a été adopté. Il vise à promouvoir au sein de l'Union européenne :
la création , le développement et la transmission des entreprises ;
la formation et l'éducation ;
l'internationalisation des entreprises européennes ;
l'innovation en Europe par le développement des clusters et du secteur énergétique.
Pierre Simon, président de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris et candidat de l’Assemblée des chambres françaises de commerce et d'industrie, a été élu président d'Eurochambres en septembre 2005.
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Tuesday, July 28, 2009
Turquie news
Monday, July 27, 2009
Sunday, July 26, 2009
Tuvalu madame Terre
Les Tuvalu sont un État polynésien, au centre de l'océan Pacifique, au sud de l'équateur et proche des Kiribati, indépendant depuis 1978.
C'est un archipel constitué de neuf atolls coralliens dont huit sont habités. Vaiaku, le village principal, sur l'atoll de Funafuti se trouve sur l'îlot de Fongafale qui fait 12 kilomètres de long. L'endroit le plus large de l'île, abritant la piste d'aéroport, avoisine les 400 mètres. C'est là que vit la moitié de la population du royaume sur 2,6 km2.
Après le Vatican c'est l'État indépendant le moins peuplé au monde
d'après les experts, les îles Tuvalu disparaitront sous le flots d'ici 2050. Les plages et végétations se font rares, le goudron ne protège plus le sol des remontées aquatiques qui inondent les cultures 5 mois par an. L'exode des réfugiés climatiques a commencé et c'est d'ailleurs la première fois qu'un Etat tout entier doit se délocaliser pour cette raison. Un millier d'habitants a déjà fui en Nouvelle Zélande, aux Fidji ou en Polynésie française, l'Australie les a refusés pour les mêmes raisons qu'elle a refusé de ratifier le protocole de Kyoto.
Saturday, July 25, 2009
Friday, July 24, 2009
La loi Grenelle I adoptée par le Parlement
La loi Grenelle I adoptée par le Parlement
(src : MEEDDM, l'Express, nouvel Obs)
Après deux lectures dans chaque chambre, l’Assemblée nationale puis le Sénat ont définitivement adopté hier le premier projet de loi qui transcrit les engagements du Grenelle de l'Environnement.
Près de deux ans après la cloture des tables rondes, le projet de Loi Grenelle I a été adopté par le Parlement à une quasi -unanimité : seuls les Verts et les Communistes se sont abstenus.
Le texte instaure notamment des mesures en faveur de la rénovation thermique des bâtiments, du développement des énergies renouvelables et des transports alternatifs à la route, la création de la trame verte et bleue, la réduction de moitié des pesticides en 10 ans sous réserve de l’existence de techniques alternatives, et un régime de partenaires environnementaux pour les organisations environnementales expertes et représentatives.
Il définit des grands objectifs, qui seront mis en oeuvre dans la loi Grenelle II : la réduction par 4 des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050, une part de 23% d'énergies renouvelables dans le bouquet énergétique en 2020, ainsi que la réduction de la consommation thermique des bâtiments (50 KWh/m² pour la consommation énergétique des constructions neuves et 80 KWh/m² pour les bâtiments rénovés en 2012). Ce dernier objectif a toutefois été assoupli par rapport aux préconisations initiales, en permettant une dérogation pour l'énergie peu émettrice de CO2, à savoir le nucléaire.
Le gouvernement attend de ces mesures qu'elles participent à la création de 600 000 emplois sur la période 2009-2020.
Le projet de loi Grenelle II sera quant à lui examiné à la rentrée.
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Le Zimbabwe un forum régional sur le climat
HARARE, 23 juillet (Xinhua) -- Le Zimbabwe accueillira le Forum régional annuel d'Afrique australe sur les perspectives climatiques (SARCOF) au cours duquel les experts du climat de la région devraient élaborer les prévisions saisonnières de la prochaine saison, selon New Ziana jeudi.
Le directeur du Département des services météorologiques Amos Makarau a indiqué que la rencontre devrait se dérouler du 18 au 26 août de cette année.
"Il y a 90% de chances que nous accueillions cette édition du SARCOF," a-t-il déclaré.
Makarau a indiqué que le département devrait recevoir une confirmation de l'Association météorologique d'Afrique australe la semaine prochaine.
L'accueil de la rencontre se fait de façon rotative et l'Afrique du Sud a organisé l'édition de l'année dernière.
Makarau a affirmé que la rencontre réunira les experts du climat de la région pour délibérer sur tous les facteurs climatiques qui devraient être prédits. "Chaque pays utilisera l'information qui s'applique à (ces prévisions) pour planifier ses différentes activités," a-t-il affirmé.
Les experts devraient aussi utiliser le forum, qui durera une semaine, pour examiner dans le détail le phénomène El Nino annoncé pour la saison prochaine.
Les experts climatiques de la région ont prévenu qu'un El Nino se construit dans le Pacifique, suscitant les craintes d'une saison sèche cet été.
L'El Nino est un rechauffement des eaux tropicales du Pacifique de l'Est toutes les trois à sept années. Les El Ninos sont accusés d'être responsables des sécheresses de 1991-1993.
Le zimbabwe a accueilli par le passé siège du Centre de supervision des sécheresse d'Afrique australe avant qu'il ne soit déplacé au Botswana.
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Ecoconception européenne
Ecoconception européenne : 315 TWh économisés par an
La Commission européenne vient d'adopter 4 règlements en matière d’écoconception, qui doivent permettre d’économiser 190 TWh par an.
Ces règlements doivent permettre d'améliorer l'efficacité énergétique des moteurs électriques industriels, des circulateurs, des téléviseurs, des réfrigérateurs et congélateurs. Ils fixent des exigences d’efficacité énergétique qui, selon Bruxelles, entraîneront des économies d’énergie de l'ordre de 190 TWh par an d’ici à 2020. Soit l’équivalent de la consommation d’électricité annuelle combinée de la Suède et de l’Autriche.
«Ce train de mesures est une étape importante dans la réalisation de nos objectifs en matière d’efficacité énergétique, de lutte contre le changement climatique et de relance économique. Il générera des gains impressionnants en termes d’économies d’électricité et de coûts correspondants, ainsi que d’émissions de CO 2 évitées, tout en créant des emplois et en stimulant le déploiement de technologies très innovantes», s'est félicité Andris Piebalgs, Commissaire européen à l'Energie.
Le règlement concernant les moteurs industriels fixe des exigences en matière de performance énergétique, tout en favorisant le recours aux variateurs de vitesse, qui règlent la puissance des moteurs en fonction des besoins réels au lieu de les laisser tourner constamment à plein régime. Les économies dans ce domaines sont estimées à environ 135 TWh par an d’ici à 2020.
Pour les circulateurs, que l'on trouve dans la chaudière ou le système de chauffage de presque tous les bâtiments, la Commission entend favoriser le basculement vers des systèmes dits 'intelligents', à haut rendement : ils doivent être capables d'adapter leur fonctionnement aux besoins des systèmes de chauffage.
Les économies d’énergie attendues sont de l’ordre de 25 TWh par an d’ici à 2020.Quant aux deux règlements sur les téléviseurs et les réfrigérateurs/congélateurs, ils ne laisseront sur le marché que des produits économes en énergie. Les économies annuelles d’électricité attendues d’ici à 2020 sont d’environ 30 TWh.
Au total, ce sont désormais neuf règlements en matière d’écoconception qui ont été adoptés, pour des économies d'énergie attendues de 315 TWh par an d’ici à 2020, s’ils sont intégralement mis en œuvre. Soit davantage que la consommation annuelle d’électricité de l’Italie.
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Deux oeuvres inédites de Mozart
Culture : Deux oeuvres inédites de Mozart
[Fenêtre sur l'Europe]
La Fondation internationale Mozarteum de Salzbourg, dans le nord de l'Autriche, a annoncé aujourd'hui avoir découvert deux oeuvres jusqu'à présent inconnues de Wolfgang Amadeus Mozart.
"Le service des recherches de la Fondation internationale Mozarteum de Salzbourg a identifié deux compositions, depuis longtemps en sa possession, comme des oeuvres du jeune Wolfgang Amadeus Mozart", a indiqué la Fondation sans apporter plus de précisions.Les deux oeuvres musicales seront jouées le 2 août devant la presse. La Fondation internationale Mozarteum a pour mission de préserver l'héritage et les travaux laissés par le compositeur prodige, de mener des recherches et d'organiser des concerts.
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Thursday, July 23, 2009
Le président Barack Obama Afrique Youtube
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Algerie week-end du vendredi et samedi
Algérie : passage au week-end du vendredi et samedi
Le conseil des ministres algérien a décidé mardi que le week-end aurait lieu vendredi et samedi à partir du 14 août au lieu du jeudi-vendredi. Dans les années 70, les autorités avaient instauré le week-end le jeudi et vendredi, mais cela pénalise l’économie nationale : les jours de repos étant en décalage avec le week-end universel, il ne reste plus que trois jours pour les opérations internationales, explique setif.info. - Mercredi 22 Juillet - 12:30
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Wednesday, July 22, 2009
L'Union européenne s'intéresse à Google Livres
Technologies : L'Union européenne s'intéresse à Google Livres
[Fenêtre sur l'Europe]
Après les Etats-Unis qui ont lancé une enquête antitrust au sujet de Google Livres, c'est au tour de la Commission européenne de s'intéresser au projet de bibliothèque numérique du géant du web.
Google Livres va être l'objet d'une enquête approfondie de la part de l'Europe. L'objectif de cet examen sera de savoir si Google Livres respecte bien les droits d'auteur. Une réunion est prévue le 7 septembre prochain et réunira autour d'une même table les auteurs, les éditeurs, les représentants de l'UE et Google.Google Livres est un moteur de recherches qui dispose de plus de 7 millions de livres numérisés. L'une des plus grandes bibliothèques du monde à portée de clic. Mais dès 2005, les vénérables Authors Guild et Association of American Publishers avaient porté plainte contre Google pour l'exploitation de ces ouvrages.Google a conclu un accord à l'amiable en octobre 2008, pour une somme de 125 millions de dollars. Les associations littéraires ont alors intégré le projet pour aider à la gestion des droits d'auteur.Les instances européennes s'intéressent maintenant à cet accord.
Alzheimer Europe
Alzheimer : la Commission propose une initiative européenne
[Fenêtre sur l'Europe]
La Commission européenne a adopté, le 22 juillet, deux propositions qui entendent contribuer à la lutte contre la maladie d'Alzheimer, les démences et autres affections neurodégénératives.
Dans une communication, elle préconise un partage des défis de santé et sociaux en Europe et elle appelle à des mesures coordonnées. Les Etats membres sont invités, dans une proposition de recommandation, à réunir leurs ressources et à mieux coordonner leurs efforts de recherche dans le domaine des affections neurodégénératives, et de la maladie d'Alzheimer en particulier, en élaborant des programmes conjoints.
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l'Union pour la Méditerranée énergie
L'UPM parie sur l'énergie pour se relancer
Richard Heuzé, envoyé spécial à Milan 21/07/2009 Mise à jour : 12:47
Christine Lagarde, Silvio Berlusconi et Hosni Moubarak, lundi à Milan, lors du Forum économique et financier de l'Union pour la Méditerranée. Crédits photo : AFP
Le Forum économique et financier de l'Union pour la Méditerranée, qui se tient à Milan, a permis aux 43 pays participants de passer en revue les dispositions visant à réduire l'inégalité entre les rives nord et sud de la Méditerranée.
Un an après le sommet de Paris qui a institué l'Union pour la Méditerranée (UPM), les pays du Nord et les pays du Sud qui en font partie - 43 au total et quelque 600 millions d'habitants - ont confronté leurs objectifs et leurs attentes lors d'un forum de deux jours à Milan.
Ces assises ont passé en revue les moyens mis en œuvre pour surmonter les problèmes séparant les deux rives de la Méditerranée : disparités économiques et financières, déséquilibre des ressources énergétiques, démographie mal contrôlée, obstacles au développement de réseaux d'entreprises.
Le Sud connaît une croissance globale de 3,5 % alors que le Nord subit une récession de 2 %. C'est pourquoi la Banque européenne d'investissements (BEI), qui est le plus important investisseur international du bassin, voit des avantages réciproques et réels à renforcer la coopération. «D'une région de solidarité, nous devons faire une région d'opportunité. Se brancher sur cette région dynamique est essentiel», insiste son vice-président Philippe de Fontaine Vive.
En ouvrant lundi matin les travaux des assises, Silvio Berlusconi a rappelé la «modestie» des résultats obtenus depuis l'accord de Barcelone, en 1997. Dans la foulée du G8 de L'Aquila qui a débloqué 20 milliards de dollars sur cinq ans essentiellement en faveur de l'Afrique, le président du Conseil italien a notamment appelé à faire de l'UPM «un ensemble beaucoup plus concret au service du bien-être et du développement».
Un «espace de croissance et de prospérité partagées»
Le président Hosni Moubarak, coprésident de l'UPM, a dégagé trois domaines d'intervention : le développement du nucléaire civil et des énergies renouvelables, solaire en premier lieu, pour permettre aux pays du Sud de respecter l'échéance européenne de 2020 avec 1/5 d'énergies renouvelables ; les transferts de capitaux et de savoir-faire nécessaires à la création d'un tissu de PME au Sud, notamment dans l'agroalimentaire ; une coopération accrue dans les infrastructures pour «réduire l'impact de la crise».
Christine Lagarde, ministre française de l'Économie se dit encouragée par le lancement de «projets structurants d'éco-croissance». Elle voit ainsi dans le «plan soleil» pour la Méditerranée un «espace de croissance et de prospérité partagées» et se félicite de la mise en place de facilités d'investissement destinées à relancer le commerce.
Antonio Tajani, vice-président de la commission de Bruxelles, annonce pour la fin octobre à Naples un Conseil des ministres des transports des «43» qui sera chargé de définir une nouvelle politique des échanges maritimes dans le bassin méditerranéen. Il appelle aussi de ses vœux de grands projets d'infrastructures dans l'énergie financés par la BEI et la commission de Bruxelles.
Au nombre des autres programmes évoqués à Milan figurent aussi la dépollution des sites industriels considérés comme «historiques» autour de la Méditerranée, l'aide à la formation post-universitaire et l'accès des PME du Sud au marché européen.
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Tuesday, July 21, 2009
Maroc : Tanger Med poursuit sa croissance
Maroc : Tanger Med poursuit sa croissance
[ 21/07/09 ]
En pleine montée en régime, le nouveau port du détroit de Gibraltar est peu impacté par la crise, même si des investissements ont été décalés. Dans le conteneur, il vise une croissance de 30 % cette année.
Tous les ports ne sont pas frappés de la même manière par la crise économique. Né de la volonté du roi Mohammed VI de désenclaver le nord du Maroc, Tanger Med poursuit ainsi son expansion. Deux ans après son démarrage, ce port du détroit de Gibraltar, créé ex nihilo à une trentaine de kilomètres à l'est de Tanger, a déjà dépassé Marseille pour le nombre de conteneurs manutentionnés. « Nous avons traité 1 million de conteneurs EVP l'an dernier et même si la crise ralentit notre croissance, nous anticipons une progression de 30 % en 2009 », explique aux « Echos » Saïd Elhadi, le président du directoire de TMSA, l'agence qui gère Tanger Med.
Se voulant plate-forme mondiale d'éclatement des marchandises, au carrefour des routes entre l'Europe, l'Asie, les Amériques et l'Afrique, Tanger Med est déjà desservi par 25 lignes régulières, et connecté à 70 ports de la planète.
Déterminé à poursuivre sur cette lancée, TMSA vient de confier à un groupement piloté par Bouygues la construction de Tanger Med 2, un complexe de deux nouveaux terminaux à conteneurs qui fera, à terme, passer la capacité totale à 8 millions de « boîtes ». Compte tenu de la crise, cet investissement de 825 millions d'euros, dont les travaux débuteront au 1 trimestre 2010, a cependant été décalé d'une quinzaine de mois par rapport aux prévisions initiales.
Diversification
Incluant également d'autres activités portuaires (terminaux pour les navires rouliers, le trafic passagers et vrac, les hydrocarbures), mais aussi terrestres avec la création d'une zone logistique, industrielle et tertiaire, Tanger Med, qui aura nécessité, entre 2003 et 2017, un investissement total de 3 milliards d'euros, dont la moitié payée par le privé, commence aussi à gagner d'autres paris que celui du conteneur. La zone logistique, qui a ouvert en novembre dernier, accueille ainsi déjà le logisticien français Geodis et le fabricant japonais de machines-outils Makita. Et, même si son partenaire Nissan s'est provisoirement retiré du projet, Renault a maintenu la création d'une usine assemblant 200.000, puis 400.000 véhicules par an. Elle entrera en production à la fin 2011.
CLAUDE BARJONET, Les Echos
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Tunisie: Gestion durable des ressources, créneau à promouvoir en partenariat
espacemanager.com
Les pistes à explorer pour promouvoir la coopération entre la Tunisie et l'organisation onusienne pour l'alimentation et l’agriculture(FAO) dans le domaine de la sauvegarde des écosystèmes et la gestion durable des ressources naturelles, ont été au centre de l’entretien qu’a eu, lundi, à Tunis M. Nadhir Hamada, ministre de l'environnement et de développement durable avec M.Jacques Diouf, Directeur Général de la FAO.Le ministre a passé en revue les principales réalisations accomplies par la Tunisie dans le domaine de la sauvegarde de l’environnement.Il s’agit pour l'essentiel des domaines de l’assainissement, de l’utilisation des eaux usées, de la densification du couvert végétal, de la gestion des déchets, de la promotion des énergies renouvelables et de la sauvegarde de la biodiversité.Le ministre a rappelé les efforts et initiatives prises par la Tunisie en vue de dynamiser la coopération régionale et internationale en matière d’adaptation aux changements climatiques.Il a formé l’espoir de voir le partenariat avec la FAO se développer dans les domaines de lutte contre la désertification et de promotion des énergies renouvelables.De son côté, M.Jacques Diouf a évoqué les opportunités offertes pour dynamiser la coopération en matière de réutilisation des eaux usées traitées, de préservation des gènes et de leur exploitation dans l’agriculture durable.
source: T.A.P
Les pistes à explorer pour promouvoir la coopération entre la Tunisie et l'organisation onusienne pour l'alimentation et l’agriculture(FAO) dans le domaine de la sauvegarde des écosystèmes et la gestion durable des ressources naturelles, ont été au centre de l’entretien qu’a eu, lundi, à Tunis M. Nadhir Hamada, ministre de l'environnement et de développement durable avec M.Jacques Diouf, Directeur Général de la FAO.Le ministre a passé en revue les principales réalisations accomplies par la Tunisie dans le domaine de la sauvegarde de l’environnement.Il s’agit pour l'essentiel des domaines de l’assainissement, de l’utilisation des eaux usées, de la densification du couvert végétal, de la gestion des déchets, de la promotion des énergies renouvelables et de la sauvegarde de la biodiversité.Le ministre a rappelé les efforts et initiatives prises par la Tunisie en vue de dynamiser la coopération régionale et internationale en matière d’adaptation aux changements climatiques.Il a formé l’espoir de voir le partenariat avec la FAO se développer dans les domaines de lutte contre la désertification et de promotion des énergies renouvelables.De son côté, M.Jacques Diouf a évoqué les opportunités offertes pour dynamiser la coopération en matière de réutilisation des eaux usées traitées, de préservation des gènes et de leur exploitation dans l’agriculture durable.
source: T.A.P
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Hélium 3 : quand l'énergie viendra de la Lune
Hélium 3 : quand l'énergie viendra de la Lune
(src : NASA, BBC, Le Parisien, Wikipedia)
Alors que l'on commémore les 40 ans du premier pas de l'homme sur le sol lunaire, les ressources en Hélium-3 de notre satellite attisent les rêves d'une électricité propre et abondante. Une solution prometteuse, qui attendra toutefois que soit maîtrisée la fusion contrôlée.
L'hélium 3, isotope non radioactif de l'hélium, provient des couches externes du soleil. Il est projeté par les vents solaires dans le système solaire. Sur Terre il n'est présent qu'en de très faibles quantités (500kg), en raison du champ magnétique de notre planète. En revanche, les missions Apollo ont montré que la Lune en possède d'importantes réserves : la sonde chinoise Chang'e-1 a récemment permis d'estimer à 100 000 tonnes la masse présente.
Or, une vingtaine de tonnes de l'isotope pourraient suffire à répondre à la demande d'électricité des Etats-Unis et de l'Europe pendant un an.
Mais on est encore très loin d'une application commerciale : la fusion nucléaire actuellement développée par le projet ITER concerne un autre type de réaction, à partir de deutérium et de tritium. Elle devrait être mise au point en 2050. La fusion à l'hélium 3 devra donc attendre, même si elle promet de produire une quantité d'énergie plus importante, et sans pollution ni sous-produits radioactif.
Il restera alors à régler la question de l'extraction et du coût de l'approvisionnement. Selon la Nasa, un kilo d'hélium 3 coûterait 2 millions de dollars.
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Belgique : le 21 juillet, jour de Fête nationale
Mardi 21 Juillet 2009
Belgique : le 21 juillet, jour de Fête nationale
[Fenêtre sur l'Europe]
Le défilé militaire en l’honneur du 60ème anniversaire de l’OTAN et du 175ème anniversaire de l’école royale militaire constituera un des événements très important des cérémonies consacrées à la fête nationale du royaume de Belgique. Le défilé se déroulera sur la place des Palais à Bruxelles avec la participation des unités des 28 pays membres de l’Alliance du Traité nord-atlantique, dont des unités belges. Le siège de l’état-major de l’OTAN se trouve en Belgique depuis 1967.
Lors de son discours au peuple hier, le roi Albert II a appelé à plus d’éthique dans la finance et l’économie. Le roi a souligné dans ce même discours la nécessité de la régulation du système financier et d’une réforme de l’État.Le souverain a notamment souligné la nécessité de normes s’appliquant à la rémunération des dirigeants d’entreprise. Il veut que la réforme de l’État accorde plus de responsabilités aux entités fédérées, une indispensable solidarité et un pouvoir fédéral efficace doté des moyens nécessaires.Enfin, le roi a invité les Communautés et Régions à promouvoir un enseignement et une politique de formation professionnelle de qualité, adaptés aux moteurs économiques de demain. Il s'est tourné pour cela vers les technologies de l’environnement.La Fête nationale belge est célébrée le 21 juillet, depuis une loi du 27 mai 1890. Cette journée commémore le serment prêté, le 21 juillet 1831 par Léopold de Saxe-Cobourg, le premier roi des Belges, de rester fidèle à la Constitution. Le serment du roi marquait le début de la Belgique indépendante, sous un régime de monarchique constitutionnelle parlementaire.Le programme de la journée : La fête a commencé dès dix heures avec le traditionnel Te Deum à la Cathédrale Saint-Michel et Gudule. A partir de 11 heures, le Parlement fédéral ouvrira ses portes au grand public. Et c'est au même moment que débutera la fête au parc, qui s'installera alors jusqu'à minuit entre le Parlement et le palais de justice.Les musées et églises seront ouverts au public dans cette zone et différents groupes folkloriques se mêleront à la fête. A noter, parmi les attractions, le village policier sur la place Poelaert, la représentation de la Commission européenne sur la Place des Palais, ou encore pour les amateurs de sensations fortes, le death ride toujours sur la place Poelaert.A 16 heures, le défilé civil et militaire commencera sur la place des Palais.Quant à la surprise du jour, elle vient souligner l'anniversaire de mariage des souverains. Jean-Jacques Strijp, le président de l'association des fournisseurs brevetés de la cour de Belgique qu' « il y aura sur la Place du musée, la plus grande photo des souverains, jamais réalisée. Une photo de 10 mètres sur 5 qui est composée de dizaines de milliers de petites photos et ça représente toutes les composantes du peuple belge, qu'on voit dans la rue tous les jours."Les princesses seront habillées par la prestigieuse maison belge Natan. Depuis 1983, cette grande maison est dirigée par Edouard Vermeulen.Pendant la soirée, plusieurs groupes se produiront sur la place des Palais. Au Parc Royal, il aura d'abord du jazz, la chorale Scala clôturera la fête avant le feu d'artifice, tiré à 23 heures depuis le palais des académies. Et la fête continuera jusqu'à tard dans la nuit.
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Union pour la Méditerranée Italie
Union pour la Méditerranée : L'Italie veut un "secrétariat économique" à Milan
[Fenêtre sur l'Europe]
Lors du Forum économique et financier qui se tient actuellement à Milan, Silvio Berlusconi a demandé que la capitale économique de l'Italie devienne le siège d'un "secrétariat économique" de l'UPM.
"C'est un objectif possible pour nous" a déclaré le chef de l'Etat italien à Christine Lagarde et Hosni Moubarak qui coprésident actuellement l'UMP.
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Monday, July 20, 2009
40ans l'homme posait le pied sur la Lune Youtube
http://www.youtube.com/watch?v=RMINSD7MmT4&feature=fvw
Pas le droit d'être dans la Lune
Le 21 juillet 1969, Neil Armstrong posait le pied sur la Lune. L'événement a fait rêver les foules mais a aussi donné du travail à pas mal de juristes, occupés à définir un statut pour les territoires non terrestres.
Neil Armstrong devant le module lunaire Eagle (LEM) de la mission spatiale Apollo XI, Lune, 21 juillet 1969.
Cette semaine marque le 40e anniversaire des premiers pas de l’homme sur la Lune. Le 21 juillet 1969, à 2 h 56 TU, Neil Armstrong émergeait du module Eagle et prononçait sa célèbre phrase [Un petit pas pour l’homme, un bond de géant pour l’humanité]. Le monde entier était rivé à son poste de télévision et suivait la progression, de plus en plus assurée, des astronautes d’Apollo 11 au milieu de la mer de la Sérénité. Il s’agissait de la première des six missions habitées – et réussies – sur la Lune. A ce jour, douze hommes (tous américains) ont eu le privilège de laisser leur empreinte sur la surface de la Lune.La mission Apollo 11 était également le couronnement de la vision professée par le président Kennedy au début des années 1960, après le choc que fut pour les Etats-Unis la mise en orbite réussie de Spoutnik 1, en octobre 1957. Cet événement a en effet marqué le début d’une course effrénée entre les deux grandes puissances de l’époque. Ce qui avait amené l’Assemblée générale des Nations unies a adopté une série de résolutions qui ont abouti à la conclusion de cinq traités multilatéraux concernant diverses questions légales dans l’espace intersidéral. Le droit international spatial était né.En 1967, le premier Traité de l’espace affirmait plusieurs principes fondamentaux. D’un point de vue juridique, l’espace est considéré comme une zone “internationale commune”, semblable aux eaux internationales, ne pouvant être revendiquée par aucune nation. L’utilisation et l’exploration de l’espace sont réservées à des “fins pacifiques”, même si cette formulation a été hautement controversée, certains se demandant si elle désignait des activités “non militaires” ou “non agressives”. Les traités suivants définissent les conditions de sauvetage des astronautes, traitent des questions de responsabilité, de l’enregistrement des lancements et de la possible exploitation et colonisation de la Lune ou de tout autre corps céleste. Reste que presque tous ces traités ont été rédigés à l’époque de la guerre froide, quand seule une poignée de pays disposaient des ressources nécessaires à l’envoi de missions spatiales. Ils ne reflètent pas les moyens technologiques et les activités spatiales menées aujourd’hui par des entreprises privées et laissent plusieurs grandes questions juridiques sans réponse. De fait, même la frontière entre l’atmosphère et l’espace n’a pas été précisément déterminée d’un point de vue légal, quoiqu’un consensus semble se dégager pour la fixer à 100 kilomètres au-dessus du niveau de la mer. Les technologies liées à la recherche spatiale se sont développées de manière exponentielle depuis les premiers pas d’Armstrong sur la Lune. L’enjeu stratégique de l’exploration spatiale dépasse une rivalité entre grandes puissances car les technologies liées à ce domaine représentent aujourd’hui une part non négligeable de notre quotidien. Tous les habitants de cette planète profitent des fruits de la recherche spatiale, que ce soit en regardant un programme télévisé diffusé par satellite, en utilisant un GPS à bord de leur véhicule, en écoutant la météo prévue par des données satellite ou en prenant un avion, dont le parcours est guidé par satellite.Le droit international spatial a naturellement tenté de suivre le rythme de ces incroyables avancées technologiques. Mais la tâche n’est pas aisée, surtout au vu du potentiel militaire et stratégique en jeu. Alors que l’ONU s’efforce d’éviter toute “militarisation” de l’espace, il est certain que les guerres du XXIe siècle utiliseront de plus en plus de technologies spatiales. Comme en témoignent les différents traités de l’espace, la communauté internationale considère l’espace comme un patrimoine mondial, dont l’utilisation et l’exploration doivent être menées “pour le bénéfice de tous les pays”, reconnaissant ainsi le lien entre partage équitable, paix et sécurité internationales. Cependant, à l’heure où plusieurs grandes nations rivalisent pour le contrôle de l’espace, son avenir semble bien différent.
Pas le droit d'être dans la Lune
Le 21 juillet 1969, Neil Armstrong posait le pied sur la Lune. L'événement a fait rêver les foules mais a aussi donné du travail à pas mal de juristes, occupés à définir un statut pour les territoires non terrestres.
Neil Armstrong devant le module lunaire Eagle (LEM) de la mission spatiale Apollo XI, Lune, 21 juillet 1969.
Cette semaine marque le 40e anniversaire des premiers pas de l’homme sur la Lune. Le 21 juillet 1969, à 2 h 56 TU, Neil Armstrong émergeait du module Eagle et prononçait sa célèbre phrase [Un petit pas pour l’homme, un bond de géant pour l’humanité]. Le monde entier était rivé à son poste de télévision et suivait la progression, de plus en plus assurée, des astronautes d’Apollo 11 au milieu de la mer de la Sérénité. Il s’agissait de la première des six missions habitées – et réussies – sur la Lune. A ce jour, douze hommes (tous américains) ont eu le privilège de laisser leur empreinte sur la surface de la Lune.La mission Apollo 11 était également le couronnement de la vision professée par le président Kennedy au début des années 1960, après le choc que fut pour les Etats-Unis la mise en orbite réussie de Spoutnik 1, en octobre 1957. Cet événement a en effet marqué le début d’une course effrénée entre les deux grandes puissances de l’époque. Ce qui avait amené l’Assemblée générale des Nations unies a adopté une série de résolutions qui ont abouti à la conclusion de cinq traités multilatéraux concernant diverses questions légales dans l’espace intersidéral. Le droit international spatial était né.En 1967, le premier Traité de l’espace affirmait plusieurs principes fondamentaux. D’un point de vue juridique, l’espace est considéré comme une zone “internationale commune”, semblable aux eaux internationales, ne pouvant être revendiquée par aucune nation. L’utilisation et l’exploration de l’espace sont réservées à des “fins pacifiques”, même si cette formulation a été hautement controversée, certains se demandant si elle désignait des activités “non militaires” ou “non agressives”. Les traités suivants définissent les conditions de sauvetage des astronautes, traitent des questions de responsabilité, de l’enregistrement des lancements et de la possible exploitation et colonisation de la Lune ou de tout autre corps céleste. Reste que presque tous ces traités ont été rédigés à l’époque de la guerre froide, quand seule une poignée de pays disposaient des ressources nécessaires à l’envoi de missions spatiales. Ils ne reflètent pas les moyens technologiques et les activités spatiales menées aujourd’hui par des entreprises privées et laissent plusieurs grandes questions juridiques sans réponse. De fait, même la frontière entre l’atmosphère et l’espace n’a pas été précisément déterminée d’un point de vue légal, quoiqu’un consensus semble se dégager pour la fixer à 100 kilomètres au-dessus du niveau de la mer. Les technologies liées à la recherche spatiale se sont développées de manière exponentielle depuis les premiers pas d’Armstrong sur la Lune. L’enjeu stratégique de l’exploration spatiale dépasse une rivalité entre grandes puissances car les technologies liées à ce domaine représentent aujourd’hui une part non négligeable de notre quotidien. Tous les habitants de cette planète profitent des fruits de la recherche spatiale, que ce soit en regardant un programme télévisé diffusé par satellite, en utilisant un GPS à bord de leur véhicule, en écoutant la météo prévue par des données satellite ou en prenant un avion, dont le parcours est guidé par satellite.Le droit international spatial a naturellement tenté de suivre le rythme de ces incroyables avancées technologiques. Mais la tâche n’est pas aisée, surtout au vu du potentiel militaire et stratégique en jeu. Alors que l’ONU s’efforce d’éviter toute “militarisation” de l’espace, il est certain que les guerres du XXIe siècle utiliseront de plus en plus de technologies spatiales. Comme en témoignent les différents traités de l’espace, la communauté internationale considère l’espace comme un patrimoine mondial, dont l’utilisation et l’exploration doivent être menées “pour le bénéfice de tous les pays”, reconnaissant ainsi le lien entre partage équitable, paix et sécurité internationales. Cependant, à l’heure où plusieurs grandes nations rivalisent pour le contrôle de l’espace, son avenir semble bien différent.
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Sunday, July 19, 2009
Saturday, July 18, 2009
Quatre pays européens et la Turquie énergie
énergie
Quatre pays européens et la Turquie
signent l'accord sur le «Nabucco»
Un quart du gaz naturel utilisé en Europe provient actuellement de RussieLes dirigeants de quatre pays européens et de la Turquie ont signé lundi à Ankara un accord sur le projet de gazoduc Nabucco, qui réduira la dépendance de l'Europe vis-à-vis de la Russie, mais des questions subsistent sur le financement et l'approvisionnement.Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a signé l'accord, ainsi que les premiers ministres d'Autriche, Bulgarie, Hongrie et Roumanie.Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, était présent, pour signifier l'importance de ce projet. Nabucco, qui est soutenu par les Etats-Unis, prévoit la construction d'un gazoduc pour transporter jusqu'à 31 milliards de m3 de gaz par an en provenance d'Asie centrale vers l'UE, en passant par la Turquie et le sud-est de l'Europe.Le premier ministre irakien Nouri al-Maliki, le président géorgien Mikheïl Saakachvili, un représentant de l'Azerbaïdjan et l'émissaire spécial américain pour l'énergie en Eurasie, Richard Morningstar, avaient fait le déplacement. La Géorgie est un des points de connexion possibles du gazoduc, avec l'Irak et la Syrie. L'Azerbaïdjan doit fournir une part importante du gaz. Un quart du gaz naturel utilisé en Europe provient actuellement de Russie.Un différend entre la Russie et l'Ukraine, point de transit essentiel, a déjà gravement porté atteinte aux approvisionnements vers l'Europe.Nabucco, lancé en 2002, devrait démarrer en 2014. Son coût est estimé à 7,9 milliards d'euros. Deux banques européennes se sont déclarées prêtes à financer le projet, mais les analystes ont des doutes quant à la capacité de réunir les fonds suffisants, du fait de la crise. M. Erdogan a souligné avant la signature que "le travail n'est pas terminé avec la signature, au contraire, il commence".Cet accord "est un résultat très significatif... (mais) il faut reconnaître qu'il y a encore beaucoup de travail à faire", a déclaré M. Morningstar. Le Turkménistan, qui dispose d'importants gisements, a apporté un précieux soutien à Nabucco vendredi en annonçant être prêt à s'y associer.Les Européens attendent encore l'accord de pays-clés comme le Kazakhstan ou l'Ouzbékistan. L'Azerbaïdjan sera un des principaux fournisseurs, mais n'a pas assez de gaz pour remplir seul le tube. Et Bakou et Moscou viennent de signer un accord pour l'achat de gaz azerbaïdjanais.Le projet Nabucco est aussi en concurrence avec un autre projet, South Stream, développé par le géant russe Gazprom et l'italien ENI qui doit relier la Russie à la Bulgarie, par la mer Noire. Le premier ministre irakien a annoncé que son pays pourrait probablement fournir 15 milliards de m3. Mais Matthew Bryza, adjoint au sous-secrétaire d'Etat américain, a mis en doute cette déclaration, rappelant le différend qui oppose Bagdad aux Kurdes irakiens, qui contrôlent les gisements pétroliers et gaziers du nord de l'Irak. Nabucco acheminera du gaz d'est vers l'ouest et, selon l'accord, d'ouest vers l'est, a expliqué le commissaire européen à l'Energie Andris Piebalgs au journal turc H rriyet Daily News. Cette disposition "permettra de fournir du gaz à la Turquie en cas de crise" à partir du réseau européen, a-t-il précisé. M. Erdogan a assuré que le gazoduc aiderait son pays à rejoindre l'UE. Pour M. Barroso, le projet "pourrait ouvrir la porte à une nouvelle ère dans les relations entre la Turquie et l'UE, et au-delà". La signature de l'accord a été reportée plusieurs fois, la Turquie, pays pauvre en énergie, exigeant 15% du gaz transporté, avant de renoncer à cette demande. Les compagnies actionnaires du projet sont OMV (Autriche), Botas (Turquie), Bulgargaz (Bulgarie), MOL (Hongrie), Transgaz (Roumanie) et RWE (Allemagne).
Projet solaire en AfriqueDouze entreprises, en majorité allemandes, ont signé lundi un protocole d'accord lançant un projet de 400 milliards d'euros pour construire des centrales solaires en Afrique du Nord et au Moyen-Orient afin d'alimenter l'Europe en énergie "propre".Ce projet pharaonique, nommé "Desertec", pourrait couvrir à terme 15% des besoins énergétiques de l'Europe et une grande partie de ceux des pays producteurs, selon ses promoteurs."Aujourd'hui, nous avons fait un pas en avant" vers sa réalisation, s'est réjoui Nikolaus von Bomhard, patron du réassureur allemand Munich Re, au siège duquel fut signé le protocole d'accord à Munich (sud de l'Allemagne).Torsten Jeworrek, membre du directoire du réassureur, a promis une collaboration "sincère, juste et d'égal à égal" avec les pays producteurs.Ce protocole d'accord prévoit la création d'un bureau d'études au plus tard fin octobre.Il devra aboutir d'ici trois ans à "l'élaboration de plans d'investissement réalisables" pour la création de ce réseau de centrales solaires thermiques, selon un communiqué de presse.Parmi les groupes impliqués se trouvent la banque allemande Deutsche Bank, les groupes énergétiques EON et RWE, le conglomérat Siemens ou encore l'espagnol Abengoa Solar et l'algérien Cevital.Des représentants de la fondation à l'origine du projet ainsi que de la Ligue arabe et du ministère égyptien de l'Energie étaient également présents.
Par AFP
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