阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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Thursday, December 04, 2008

Algerie bresil




Algérie - Le rêve brésilien devenu réalité
Lentement mais sûrement, le Brésil a réussi en quelques années seulement sa transition économique en passant de pays monoexportateur de café à celui de géant industriel à l’échelle régionale. Vaste pays d’une superficie de plus de 8,5 millions de kilomètres carrés, soit presque quatre fois la taille de l’Algérie, avec une population de plus de 186 millions d’habitants, composée majoritairement de Blancs ( 49,9 %), de métis (43,2), de Noirs (6,7%) et d’Asiatiques (0,6%).
Le Brésil ce n’est pas seulement le carnaval de Rio, événement folklorique haut en couleur et en rythmes qui draine des millions de touristes chaque année. Ou encore un pays connu uniquement pour la passion des Brésiliens, jeunes et moins jeunes, pour le ballon, la première religion au Brésil. C’est aussi, aujourd’hui, un pays qui suscite l’intérêt et force le respect dans le monde pour son haut niveau de développement et de maîtrise technologique.
Selon la Banque mondiale, le Brésil était classé, en 2005, au 9e rang mondial en termes de participation au PIB mondial avec un taux de 2,7%, devant la Russie, l’Espagne, le Canada, la Corée du Sud... Les exportations brésiliennes de janvier à août 2007 se sont élevées à 102,4 milliards de dollars. Le Brésil n’a pas usurpé son statut de pays émergent. C’est aujourd’hui un poids lourd sur la scène internationale.
Le niveau de développement économique et technologique atteint par ce pays et les immenses potentialités naturelles qu’il recèle, en pétrole, ressources en eau, agriculture, télécommunications, traitement des données, sidérurgie, industrie automobile, pétrochimie, sans oublier l’industrie aéronautique, clé de voûte de l’économie brésilienne, font du Brésil un partenaire économique avec lequel il faudra de plus en plus compter. L’assurance affichée par le président brésilien Luis Ignacio Lula da Silva au dernier sommet du G20 de Washington sur la crise financière internationale au milieu de l’aréopage des dirigeants des grandes puissances se permettant le luxe d’apostropher en regardant droit dans les yeux le président de la première puissance mondiale, Georges W. Bush, auquel il a rappelé la responsabilité de son pays, les Etats-Unis d’Amérique, dans la crise financière internationale pour avoir transformé l’économie et la finance internationales en un « immense casino » il la doit à la place qu’occupe aujourd’hui le Brésil sur la scène internationale.
Un pays qui traite d’égal à égal avec les grands de ce monde. Cet ancien tourneur mécanicien, qui s’est forgé dans l’action syndicale avant de présider aux destinées du pays en 2002, puis en 2006 pour un second mandat, peut se targuer d’avoir hissé le Brésil, sous ses deux mandatures, au rang de puissance économique régionale et jeté les bases solides d’un développement durable qui rend le Brésil éligible à la compétitivité internationale.
La force de l’économie Brésilienne réside dans le fait qu’elle n’ a jamais cédé à la tentation facile, comme c’est le cas de beaucoup de pays producteurs d’or noir de dormir sur les barils de pétrole. Le pays a compris, très tôt, que le développement durable et la diversification de son économie constituent les seules options viables pour garantir l’avenir. Le développement du secteur des services, qui entre pour 64% du PIB du Brésil, en est la parfaite illustration du développement harmonieux et orienté vers l’exploitation judicieuse et optimale de toutes les potentialités nationales. Cette stratégie de développement, qui a misé sur la recherche et l’innovation, a produit des résultats prodigieux. Le Brésil aligne aujourd’hui des performances inestimables dans divers domaines et particulièrement dans les secteurs de pointe, où la concurrence internationale est extrêmement rude.
Il est tout à la fois leader mondial dans le domaine de l’exploration de pétrole en eaux profondes, un géant dans le domaine agroalimentaire, dominant le marché mondial de l’exportation de fer, de café, de viandes rouges (bovins) et blanches, de tabac, de sucre, d’alcool…
Le piège des bio-carburants
Il se place au quatrième rang mondial dans le domaine de la construction aéronautique, premier producteur mondial d’avions régionaux de petites et moyennes capacités. Le secteur de la téléphonie portable est un autre pôle d’excellence que le Brésil a développé avec succès. Le Brésil occupe la 6e place dans le marché mondial de la téléphonie mobile. Il est également leader en énergie renouvelable et possède de grandes potentialités dans le domaine de la maîtrise des sciences et des technologies : fabrication de logiciels, télécommunications, développement des biocarburants (il est le deuxième producteur mondial d’éthanol) et la liste des performances de l’économie brésilienne est encore longue.
La production du carburant vert, qui a poussé les autorités à se lancer dans une politique de culture intensive de la canne à sucre, n’a pas eu que des bienfaits sur l’économie et l’environnement du Brésil. Les dégâts occasionnés au tapis végétal avec les actions de déforestation, qui ont pris l’aspect d’un véritable désastre écologique notamment en Amazonie, ont amené les experts à tirer la sonnette d’alarme sur cette stratégie de développement tous azimuts des biocarburants dans lequel s’est engagé le Brésil.
Une équation difficile à laquelle le Brésil devra trouver rapidement une solution à travers des compensations internationales d’autant qu’il est mis à l’index pour les effets induits par sa stratégie industrielle sur la préservation de la couche d’ozone. Le Brésil a les cadres et l’expertise nécessaires pour mettre à niveau son économie dans ce domaine.
On dénombre dans le pays près de 800 000 chercheurs et boursiers. Ce tableau de bord, qui est loin d’être exhaustif, serait bien évidemment incomplet, si on omet de mentionner le secteur du tourisme qui génère d’importantes ressources en devises pour l’économie brésilienne.
La baie de Rio, une des merveilles du monde, avec ses plages au sable fin : Copacabana, Epanama, Leblon, qui s’étirent sur pas moins de 55 km et ses vestiges touristiques — ses fameux pains de sucre à partir des sommets desquels s’offre une magnifique vue en plongée de la baie de Rio et de la ville, l’imposante statue du Christ, haute de 22 m, surplombant la ville et érigée sur les hauteurs de Corcovado, ne sont que quelques facettes des potentialités touristiques immenses du Brésil, qui font de ce pays une destination très prisée. En 2006, le secteur du tourisme a généré 4,3 milliards de dollars de recettes.
Rio De Janeiro, entre la carte postale et les favellas
La baie Rio de Janeiro ressemble dans le moindre détail à la carte postale des dépliants touristiques des tour-opérateurs. Même beauté naturelle, même faisceau de lumières et de couleurs arc en ciel dans laquelle elle baigne plusieurs mois dans l’année. Mêmes senteurs dégagées par les essences insondables que renferme la forêt de Tijuca, qui dévale de la montagne de Corcovado pour venir terminer son parcours à la lisière même du centre-ville. La découverte des charmes inénarrables de la baie de Rio commence dans l’avion en survolant l’aéroport de la ville. Dès l’annonce par le commandant de bord de l’approche de la baie, les camescopes et les appareils photos se mettent en action pour saisir ces instants de bonheur qui donnent une envie irrésistible d’aller rapidement à la découverte de cette ville mythique aux mille atours. D’abord un peu d’histoire. Rio de Janeiro signifie en portugais « la rivière de janvier », nom donné par les premiers explorateurs de la ville venus du sud du pays, longeant la rivière qui porte le même nom.
En débarquant sur le littoral de Rio, les explorateurs en question, des « marins d’eau douce », pensaient qu’ils n’avaient jamais quitté la rivière d’où ils avaient lancé leur expédition d’où le nom de Rio de Janeiro. Tout est à voir et à découvrir à Rio. Ses sites naturels comme les majestueux pains de sucre qui s’élancent vers le ciel à près de 400 m d’altitude et que l’on gagne au moyen d’un téléphérique tout aussi pittoresque, aux plages mythiques de Copacabana, d’Epanama et de Leblon, toutes dédiées au culte du corps et à la muse en passant par les favelas de Rio (bidonvilles) qui font partie des circuits touristiques proposés par les agences de tourisme.
On connaissait le tourisme sexuel dont certaines destinations se sont faites une spécialité, le tourisme de la misère vient au Brésil « enrichir » la gamme des prestations proposées par les tour-opérateurs. La favela Da Rocinha, où vivent dans une promiscuité indescriptible quelque 100 000 habitants, constitue une des curiosités de Rio les plus visitées par les touristes étrangers. Mais la consigne est très stricte : on ne s’aventure pas seul dans ces ghettos où même la police ne s’y sent pas en sécurité. Il faudrait être encadré par un guide qui connaît bien les lieux et ses habitants et surtout prendre la précaution de s’y rendre sous bonne escorte. Les délégations étrangères, les journalistes, qui visitent le pays, sont toujours flanqués d’une protection rapprochée comme ce fut le cas durant notre séjour jusqu’à notre départ. Même si on cherchait à l’éviter la favela Da Rocinha est visible de partout.
Les maisons faites de brique et de broc s’imbriquant les unes dans les autres présentant l’aspect d’une masse difforme d’un énorme champignon sauvage. Rien à voir avec nos constructions anarchiques qui feraient pâlir d’envie les habitants des favelas ! La favela prend ses racines de la route qui longe le littoral de Rio en se déployant comme un mille feuilles avec des constructions incrustées dans le moindre espace inoccupé de la forêt, qui s’élance vers le ciel sur plusieurs dizaine de mètres d’altitude. A défaut de raser ces bidonvilles, ce qui relève de la gageure, compte tenu de l’ampleur du phénomène, les autorités ont légalisé, d’une certaine manière, ces poches de la misère et de la pauvreté en y développant les infrastructures d’accompagnement et autres équipements socio-éducatifs que l’on trouve dans des sites urbanisés.
Au niveau de cette favela, on y trouve différents commerces, une banque, une école. Ses habitants se paient même le luxe d’avoir une télévision câblée qui s’intéresse à leur vécu. Les autorités brésiliennes ne semblent pas dérangées dans leur sommeil par la présence de ces bidonvilles que l’on ne cherche même pas à cacher des regards des étrangers, comme on dissimulerait une maladie honteuse.
Quand bien même on le voudrait on ne le pourrait pas, car si dans d’autres pays les bidonvilles poussent généralement à la périphérie de la ville, les favellas de Rio sont carrément implantées dans le cœur de la ville. On a beau essayé de détourner le regard, prendre tous les détours que l’on veut en traversant les beaux quartiers résidentiels de Rio, la favella de Da Racinho nous suit partout et réapparaît à chaque virage tel un fantôme qui hante la ville.
Pays de contrastes, à la limite de la provocation, le Brésil joue ainsi allègrement sur la juxtaposition ( la confrontation ?) de deux sociétés : celle du Brésil carte postale, d’un pays qui avance à grand pas économiquement, et en face, d’autres réalités moins réjouissantes que vivent une bonne partie des Brésiliens qui ne profitent pas des bienfaits de la croissance économique remarquable du pays. L’image est choquante, mais elle ne parait déranger personne : la chaîne hôtelière américaine le Sheraton n’a pas trouvé meilleur site pour s’installer à Rio que le voisinage immédiat d’une favella.
Seule la route serpentée du littoral, qui mène vers les deux autres belles plages de Rio (Epanama et Leblon) dans un décor qui rappelle la corniche djidjellienne avec les falaises en contrebas, sépare les deux mondes. Et comme l’argent n’a pas d’odeur, la chaîne hôtelière a été le seul investisseur touristique à avoir reçu l’autorisation des autorités administratives pour s’implanter le long du littoral, les pieds dans l’eau, alors que la réglementation interdit toute construction de quelque nature que ce soit qui obstrue la vue sur les plages et la baie de Rio. En se développant dans tous les sens, comme une coulée de lave d’un volcan en éruption permanente, les favelas de la misère se sont imposées à la ville et lui ont imposé, d’une certaine façon, un nouveau mode de vie.
Maracana, à l’heure du mondial 2014
Les clichés et les images d’Epinal qui ont fait la réputation de certains quartiers chics de Rio, notamment son littoral enchanteur fait de plages entrées dans la légende telle que Copacabana qui a inspiré toute une filmographie d’Hollywood, ses belles limousines et autres prototypes de bolides décapotables qui faisaient partie du décor de ce littoral, les stars américaines et d’ailleurs qui se donnaient rendez-vous toute l’année dans ce qui fut un paradis pour la jet-set, tout cela a quelque peu disparu aujourd’hui. La revanche de l’histoire, des habitants des favelas, aura été impitoyable. Copacabana, une plage autrefois fréquentée par des estivants triés sur le volet, est devenue aujourd’hui plus métissée et plus socialisée que jamais.
On y vient en famille, de toutes conditions sociales. On se croirait presque dans une des plages populaires algéroises, quand on voit ces familles débarquer avec leurs parasols usés, leurs glacières remplies de victuailles et la ribambelle d’enfants qui les accompagnent.
Quand on voit également ces jeunes des favellas environnantes squatter des espaces le long de la plage s’improvisant qui n vendeurs de serviettes de plage, qui proposant des articles de souvenir ou encore assurant pour les baigneurs différentes prestations de services : douches alimentées à l’aide d’une moto-pompe branchée sur le réseau public d’alimentation en eau potable, vespasiennes, collecte de canettes de sodas et de bière laissées négligemment par les estivants et qui sont revendues à un dollar le kilogramme.
Ils sont également aux carrefours de la ville aux heures de pointe, la plupart du temps d’un âge très jeune, soutirant quelques reals (monnaie brésilienne) aux automobilistes contre quelques exercices de saltimbanques pour les plus inspirés. La plage, qui se confond avec la rue, commence à s’animer aux premières heures de la journée.
Ce mois de novembre marque au Brésil le début de l’été. La caractéristique de cette plage, bordée de cocotiers et qui s’étire à perte de vue, réside dans sa voie cyclable et piétonnière littéralement prise d’assaut par les amateurs de marche et de jogging. Située entre la plage et la voie publique, cette rue longue de plusieurs kilomètres pavée et décorée de mosaïques est tout au long de la journée tout autant embouteillée que la chaussée d’en face aux heures de grand trafic automobile. On marche, on court à toute heure, à tout âge, seul, en couple ou en groupe.
Voir Copacabana et courir
Il n’est pas rare de croiser de vieux couples marcher ou au pas de course sur cet esplanade où tout le monde slalome pour se mouvoir, même les promeneurs. Lieu de détente et de loisirs, mais aussi d’exhibition pour ces corps hommes et femmes bronzés, ruisselant de sueur et luisant de crème solaire, en tenues de sport portées avec un sens inné de la provocation pour les jeunes. Pour raffermir leurs muscles, les jeunes et moins jeunes peuvent trouver tous les équipements sportifs, en différents endroits de la plage. Des barres fixes, des tapis pour les exercices au sol, des élastiques pour développer les biceps et d’autres équipements sont gracieusement mis à la disposition des estivants.
Pour les amateurs des sports collectifs, des terrains de beach-volley, de mini-football, des clubs de surf, de voile sont disponibles sur la plage et font le bonheur des estivants. Mais pour les habitués de ce coin de paradis qui est resté à l’état naturel avec ses petites îles au large, ses vestiges historiques, son fort ancien qui veille de son piémont sur la plage et la ville de Rio, Copacabana d’aujourd’hui n’est plus Copacabana d’il y a quelques années. Les stars et les célébrités ont déserté ce lieu qui s’est popularisé pour aller chercher la tranquillité, le dépaysement et l’intimité ailleurs le long de la côte, loin dans de petites îles retirées au large de Rio, où ils s’y rendent avec leur yacht.
La baie de Rio, qui est gagnée par la pollution, est de plus en plus désertée par les bateaux de plaisance qui vont chercher l’eau cristalline et les « bonnes fréquentations » sur d’autres rivages, loin des favellas. Des nostalgiques de la baie continuent pourtant de s’offrir des parties de ski nautique et des ballades en mer sur la baie, d’où l’on a une vue imprenable et dégagée de la ville de Rio.
Une ville dont le nom est également intimement associé à l’organisation du Carnaval de Rio qui est érigé en véritable institution au Brésil. Toute une rue de la ville est spécialement aménagée pour accueillir l’événement culturel et touristique phare de l’année au Brésil ainsi que les millions de touristes étrangers qui affluent de partout pour vivre cet hymne à la joie et à l’amour, ces moments de folie et d’hystérie collective lui sont dédiés. Avec tribunes, des écoles de sambas sur place et toutes les commodités liées à l’organisation de l’événement. Rio ne serait pas également Rio sans son stade mythique de Maracana, temple du football qui est entré dans la légende de la balle ronde au Brésil avec les différents sacres arrachés par l’équipe nationale dans cet immense stade. Le gouverneur de la ville est fier d’annoncer avec un grand panneau bien mis en évidence à l’entrée du stade la candidature du Brésil pour l’organisation de la Coupe du monde de football de 2014.
Le développement du Brésil est intimement lié à certains noms de bâtisseurs qui ont laissé ou laisseront leur empreinte dans l’histoire de ce pays. L’architecte brésilien Oscar Niemeyer, qui vient de fêter ses cent ans et qui est toujours aussi actif que lorsque, très jeune, il fit ses premiers pas dans l’art architectural qu’il a révolutionné, est de ceux-là. C’est une icone au Brésil. Il n’est pas une ville, un quartier, une rue où l’on ne vous montre une réalisation portant sa signature. L’architecte est connu pour son style particulier jouant allègrement avec l’imagination, les formes, les contrastes et les matériaux, livrant des projets qui ont marqué son siècle. C’est surtout à Sao Paulo, capitale économique du Bresil, où il a eu à exercer le plus son talent.
De nombreux étrangers habitués aux grands espaces verts, qui visitent cette ville envahie par le béton, avouent ne pas pouvoir y vivre au milieu du tissu urbain dense et étouffant fait de tours en béton et en verre qui surgissent de partout et de nulle part. En dehors du parc de Sao Paulo abritant le musée des arts contemporains qui porte la griffe d’Oscar Niemeyer, lequel est pris d’assaut les week-ends par les habitants de la ville, les espaces verts sont une denrée qui devient de plus en plus rare dans cette ville, notamment dans le centre qui est tout bonnement hypertrophié.
Vu d’avion, le centre et la périphérie de Sao Paulo présentent l’aspect d’un vaste bourg rural avec un tissus urbain d’une densité et d’une anarchie poussée à l’extrême. Dès que l’on quitte le centre de la capitale économique où se succèdent les tours en béton et en verre, la périphérie de la ville est envahie par les bidonvilles que l’on aperçoit sur le chemin de l’aéroport avec leurs murs en décrépitude semblables au décor de tous les bidonvilles du monde, balafrés par des tags racontant la malvie de leurs habitants. Entre deux bidonvilles, des propriétaires fonciers proposent à la vente des terrains de plusieurs hectares. Un autre paradoxe avec lequel les Brésiliens ont appris à vivre mais qu’ils acceptent de plus en plus mal dans un pays où les indicateurs économiques sont tous au vert. (À suivre)
Synthèse de l'article - Equipe Algerie-Monde.com
D'apres El Watan. www.elwatan.com. Par Omar Berbiche . Le 3 Decembre 2008.

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