Sept semaines avant le lancement solennel à Paris, les 13 et 14 juillet, de l'Union pour la Méditerranée (UPM), la Commission européenne, qui avait été chargée, lors du sommet européen des 13 et 14 mars, de réfléchir à ses modalités de fonctionnement, met en doute la possibilité pour le chef de l'Etat français d'en assurer la coprésidence pour un premier mandat de deux ans. Très critique à l'égard de la politique méditerranéenne de l'UE, Nicolas Sarkozy, qui a dû renoncer sous la pression de ses partenaires, notamment de l'Allemagne, à une grande partie de ses ambitions, souhaitait occuper ce mandat pendant le lancement de l'UPM, si possible avec le chef de l'Etat égyptien, Hosni Moubarak.
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Les propositions de la Commission, qui doivent faire l'objet d'une communication mardi 20 mai à Bruxelles, réaffirment la prééminence des institutions européennes sur la politique euroméditerranéenne - processus de Barcelone -, au sein de laquelle l'Union pour la Méditerranée a été intégrée
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