Séisme en Haïti: le président Préval craint des milliers de morts (presse)
président haïtien René Préval a dit mercredi au quotidien américain Miami Herald qu'il craignait que le séisme qui a frappé son pays la veille ait fait des milliers de morts, appelant dans la foulée la communauté internationale à l'aide.
M. Préval, qui s'exprimait pour la première fois depuis le tremblement de terre, s'est toutefois refusé à avancer un chiffre.
"Nous allons devoir évaluer" l'étendue de la tragédie, a encore lancé M. Préval. Se trouvant lui-même avec son épouse à Port-au-Prince, il a qualifié les scènes dont il a été témoin d'"inimaginable".
"Le Parlement s'est effondré. Le siège de l'administration fiscale s'est effondré. Des écoles se sont effondrées. Des hôpitaux se sont effondrés (...). Certaines écoles sont remplies de cadavres", a-t-il poursuivi.
"C'est une catastrophe", a jugé son épouse, Elisabeth Préval dans le même journal. Dans les rues de la capitale "j'enjambe des corps sans vie. Enormément de gens sont ensevelis sous les décombres. L'hôpital général s'est écroulé. Nous avons besoin de soutien. Nous avons besoin d'aide. Nous avons besoin d'ingénieurs," a-t-elle observé.
M. Préval, qui s'exprimait pour la première fois depuis le tremblement de terre, s'est toutefois refusé à avancer un chiffre.
"Nous allons devoir évaluer" l'étendue de la tragédie, a encore lancé M. Préval. Se trouvant lui-même avec son épouse à Port-au-Prince, il a qualifié les scènes dont il a été témoin d'"inimaginable".
"Le Parlement s'est effondré. Le siège de l'administration fiscale s'est effondré. Des écoles se sont effondrées. Des hôpitaux se sont effondrés (...). Certaines écoles sont remplies de cadavres", a-t-il poursuivi.
"C'est une catastrophe", a jugé son épouse, Elisabeth Préval dans le même journal. Dans les rues de la capitale "j'enjambe des corps sans vie. Enormément de gens sont ensevelis sous les décombres. L'hôpital général s'est écroulé. Nous avons besoin de soutien. Nous avons besoin d'aide. Nous avons besoin d'ingénieurs," a-t-elle observé.
No comments:
Post a Comment