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Il recèle beaucoup de richessesLa wilaya de Tizi Ouzou est parmi les zones montagneuses les plus peuplées au monde avec une densité moyenne de 434 habitants au kilomètre carré. D’une superficie de 2 994 km2, 80% de son territoire est montagneux. La chaîne du Djurdjura la traverse de bout en bout et s’étend vers les wilayas de Bouira et jusqu’à l’Akfadou dans la wilaya de Béjaïa. En 1983, le massif du Djurdjura accéda au statut de Parc national.
Environ 80 000 habitants ont été recensés à la périphérie de cette majestueuse montagne et 6 000 autres habitent à l’intérieur même de la réserve, répartis sur de petits villages dont Aït Ouabane, Tiroual, Aït Boumehdi, Aït Chebla, Aït Aggad, Aït Ergane, Tizi Mellal, Timeghras, Tikilsa, Tafsa, Aït Bouaddou, Takerbouzt, Tikidount… Coupe de bois, pâturage et prolifération de décharges sauvages sont, entre autres, les problèmes auxquels font face la direction du parc et la conservation des forêts.
Riche par sa faune, sa flore et le savoir-faire de ses habitants, mais surtout l’eau qu’il renferme sous son sol, le Djurdjura a les potentialités d’améliorer le cadre de vie de ses enfants et de devenir un véritable pôle d’écotourisme, pour peu qu’il soit pris en charge dans un programme de mise en valeur, de développement durable et de préservation de l’environnement.
Par D. Madjda
Il recèle beaucoup de richessesLa wilaya de Tizi Ouzou est parmi les zones montagneuses les plus peuplées au monde avec une densité moyenne de 434 habitants au kilomètre carré. D’une superficie de 2 994 km2, 80% de son territoire est montagneux. La chaîne du Djurdjura la traverse de bout en bout et s’étend vers les wilayas de Bouira et jusqu’à l’Akfadou dans la wilaya de Béjaïa. En 1983, le massif du Djurdjura accéda au statut de Parc national.
Environ 80 000 habitants ont été recensés à la périphérie de cette majestueuse montagne et 6 000 autres habitent à l’intérieur même de la réserve, répartis sur de petits villages dont Aït Ouabane, Tiroual, Aït Boumehdi, Aït Chebla, Aït Aggad, Aït Ergane, Tizi Mellal, Timeghras, Tikilsa, Tafsa, Aït Bouaddou, Takerbouzt, Tikidount… Coupe de bois, pâturage et prolifération de décharges sauvages sont, entre autres, les problèmes auxquels font face la direction du parc et la conservation des forêts.
Riche par sa faune, sa flore et le savoir-faire de ses habitants, mais surtout l’eau qu’il renferme sous son sol, le Djurdjura a les potentialités d’améliorer le cadre de vie de ses enfants et de devenir un véritable pôle d’écotourisme, pour peu qu’il soit pris en charge dans un programme de mise en valeur, de développement durable et de préservation de l’environnement.
Par D. Madjda
1 comment:
bonjour,
je viens de découvrir votre blog par pur hasard. j'ai programmé une alerte infos automatique sur google et je viens de recevoir un article sur le PND.
je prendrais le temps de lire et explorer votre blog.
étant natif et ayant exercé le métier de journaliste en kabylie pendant neuf ans, j'espère pouvoir continuer a échanger avec vous sur cette belle région.
bon courage a vous.
voici l'adresse de mon blog:
http://lettresdekabylie.unblog.fr/
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