Les investisseurs en capital risque apportent du capital, ainsi que leurs réseaux et expériences à la création et aux premières phases de développement d'entreprises innovantes ou de technologies considérées comme à fort potentiel de développement et de retour sur investissement. Parmi les succès récents les plus connus du capital-risque, on peut par exemple citer Google aux Etats-Unis et Skype en Europe.
Le terme « risque » utilisé en France n'a pas toujours d'équivalent dans les autres pays où l'on emploie souvent le terme d'opportunité (Venture capital). Au Canada, on utilise l'expression "capital de risque" plutôt que "capital risque". On note tout de même l'allemand "RisikoKapital", l'espagnol "Capital de riesgo", le portugais et brésilien "Capital de risco"... Les professionnels français ont souvent cherché d'autres termes, plus proche de la traduction américaine en mettant moins l'accent sur le risque de l'investissement que sur les profits attendus: "Capital Aventure", "Capital Croissance"... Ces tentatives de communication ont eu parfois un succès éphémère, mais une seule déviation a bénéficié d'un usage régulier pendant quelques années: le capital d'amorçage, dédié à la création d'entreprises
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