阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, September 30, 2008

Union Méditerranée une chance pour L"europe









Union pour la Méditerranée
Une chance de rebond pour l'Europe sur le plan international
Publié le : 30.09.2008 13h36




L'Union pour la Méditerranée est non seulement un "impératif politique et stratégique", mais également une opportunité pour l'Europe, qui, à travers ce momentum reconstruit, pourrait retrouver une influence qu'elle a en partie perdue au sein de la communauté des nations, a affirmé André Azoulay, conseiller de S.M. le Roi et Président de la Fondation "Anna Lindh".

"Quand on parle de l'Euro-Méditerranée, on ne peut occulter les dossiers les plus difficiles auxquels est confrontée la communauté internationale", a souligné M. Azoulay dans une interview diffusée, mardi, par Euronews, chaîne d'information en continu basée à Lyon.Il a cité, à ce propos, la paix qui reste en devenir entre Palestiniens et Israéliens, la situation en Irak, celle qui prévaut actuellement en Afghanistan, mais aussi les relations entre la grande civilisation arabo-musulmane et le monde occidental chrétien.Au sujet de la crise au Proche-Orient, M. Azoulay a relevé que le monde entier reconnaît, aujourd'hui, la légitimité et l'absolue nécessité d'avoir un Etat palestinien dans toute son identité retrouvée, et dans tous ses droits reconstruits et ceci dans un consensus international rarement égalé.Parlant du rôle et de la place de la Fondation Anna Lindh dans la construction de l'UPM, M. Azoulay a insisté sur la nécessité de remplacer la culture de l'octroi par la logique de la parité et de placer les hommes et les femmes "dont on veut dessiner le futur" au centre de ce projet. Il faut, a-t-il souligné, que ces hommes et ces femmes soient investis de cette ambition idéologiquement, politiquement, culturellement et socialement.Il faut qu'ils se sentent également concernés et pris en compte, a conclu M. Azoulay, qui s'exprimait à l'issue du Conseil des gouverneurs de la Fondation Anna Lindh, réuni à Bruxelles pour prendre connaissance du plan triennal (2008-2011) qu'il a lui-même présenté à cette instance.



Par MAP

Stevie Wonder Youtube


George Micheal youtube


Radio canal Paris


Chine environnement du travail



La Chine promet un meilleur environnement de travail aux experts étrangers
Le Premier ministre chinois Wen Jiabao s'est engagé à fournir de meilleures conditions de travail et de vie aux experts étrangers servant la Chine.
Wen a fait cette remarque lors d'une rencontre avec 50 spécialistes étrangers et leurs familles au Grand Palais du Peuple lundi, pendant laquelle il a accordé le prix d'Amitié de l'année à ces experts au nom du gouvernement chinois.
La Chine a tenu les Jeux olympiques de Beijing avec succès, achevé sa troisième mission spatiale habitée et maintenu la tendance positive de la croissance économique après avoir surmonté des catastrophes dont les tempêtes de neige hivernales et le séisme, a indiqué Wen.
Tous ces succès et accomplissements ont été attribués aux efforts collectifs du peuple chinois, ainsi qu'aux soutiens et préoccupations des experts et amis étrangers, a-t-il ajouté.
Le Premier ministre a souligné aux experts que la Chine poursuivrait sa politique de réforme et d'ouverture qui s'avérait être la bonne voie pour conduire le pays à la prospérité, cette année marquant le 30e anniversaire de son initiation.
Selon Wen, les gouvernements chinois de tout niveau s'efforceront de créer de meilleures conditions de travail et de vie pour les experts étrangers en Chine et de protéger leurs droits et intérêts légaux pour réaliser leurs idéaux professionnels.
Le prix d'Amitié est le prix le plus important attribué par le gouvernement chinois aux experts étrangers qui ont fait des contributions exceptionnelles à la construction économique et au développement social de la Chine.
Les 50 gagnants du prix de l'année 2008 proviennent de 19 pays incluant l'Australie, l'Autriche, le Canada, Cuba et d'autres pays. Ils travaillent dans l'agriculture, l'enseignement, la santé, l'ingénierie, et d'autres spécialités.
Le gouvernement a accordé le prix à 999 experts étrangers venant de 58 pays depuis 1991.

Récifs coraliens dans le monde protection





Sauver les récifs coralliens dans le monde
[Date: 2008-09-29]
Les récifs coralliens, souvent regorgeant de vie marine, sont parmi les écosystèmes les plus fragiles. Un récif en bonne santé peut héberger des milliers d'espèces, mais ces écosystèmes sont malheureusement soumis à des contraintes très fortes, qui mettent leur survie en danger. Une équipe internationale de chercheurs, dirigée par l'université de Newcastle au Royaume-Uni et la Wildlife Conservation Society aux États-Unis, a déterminé les points sur lesquels doivent porter les initiatives de conservation, si l'on veut sauver les récifs coralliens. Au niveau mondial, les récifs coralliens sont menacés de toutes parts. Une élévation d'à peine un ou deux degrés peut entraîner le blanchiment des coraux ou intensifier les effets de maladies infectieuses, avec pour résultat la destruction de grandes zones du corail. Certaines techniques de pêche, comme l'usage de la dynamite, sont également responsables de la destruction des récifs de corail. C'est pourquoi l'on a défini des zones de non-pêche, destinées à protéger à la fois les poissons et le récif qui est leur habitat. Cependant, cette dernière étude montre qu'il faut revoir et mettre à jour la localisation de ces zones. Une équipe internationale de chercheurs, originaires d'Australie, des États-Unis, de France, du Royaume-Uni et de Suède, s'est attachée à réaliser l'une des études les plus vastes en la matière. Elle a étudié des zones de non-pêche couvrant 66 sites sur 7 pays, dans l'océan Indien. L'étude a été publiée par la revue PLoS ONE. Les chercheurs ont découvert que les zones de conservation sont aujourd�hui mal situées, laissant certains récifs coralliens vulnérables aux effets des changements climatiques. Selon Nick Graham, l'auteur principal, de la School of Marine Science and Technology de l'université de Newcastle, il est urgent d'agir: «Il nous faut adopter une approche totalement nouvelle, et nous devons agir sur-le-champ». L'étude a montré que l'on devait conserver telles quelles les zones de non-pêche actuellement définies, mais qu'il fallait en créer d'autres pour protéger d'autres récifs. «Notre étude a montré qu'un bon nombre des zones de non-pêche sont mal situées. Il faut en définir de nouvelles, centrées sur des zones qui échappent aux effets du changement climatique ou se remettent bien de son impact. Mais il faut changer d'objectif, en augmentant la résistance du système dans son ensemble, ce qui veut dire qu'il faut réduire autant que possible les menaces d'origine locale», poursuit M. Graham. Pour assurer la survie des récifs coralliens, il faut aussi mettre en place un système global de gestion de l'écosystème. «Les coraux meurent lorsqu'ils subissent un stress. Il faut donc réduire sur l'ensemble de la zone l'impact direct des hommes, comme la surpêche, la pollution et la sédimentation», conclut M. Graham. «En supprimant toutes ces autres causes, nous donnerons au corail les meilleures chances de se remettre et de survivre aux changements de température qui pourraient résulter du réchauffement planétaire.»
Pour de plus amples informations, consulter: Université de Newcastle: http://www.ncl.ac.uk/ Une vidéo concernant les coraux en Méditerranée est disponible à l'adresse suivante: ici. Conseil International pour l'Exploration de la Mer (ICES) http://www.ices.dk/

Politique spatiale Européenne





Le Conseil Compétitivité est résolu à faire avancer la politique spatiale européenne
[Date: 2008-09-29]
Le 26 septembre, le Conseil Compétitivité a adopté une résolution visant à faire progresser la politique spatiale européenne. La résolution a défini quatre domaines prioritaires: l'espace et l'évolution du climat, l'espace et la sécurité, l'exploration spatiale et la contribution de l'espace à la stratégie de Lisbonne. Les États membres ont notamment souligné l'importance de la mise en oeuvre réussie et rapide de Galileo (le système de navigation par satellite de l'UE) ainsi que du projet GMES (surveillance mondiale de l'environnement et de la sécurité). Suite à l'adoption en 2006 du septième programme-cadre (7e PC) et de son nouveau domaine thématique concernant l'espace, l'UE a fait du domaine spatial l'une des bases de la réalisation d'une société européenne fondée sur la connaissance. L'accord-cadre entre la Communauté européenne (CE) et l'Agence spatiale européenne (ESA) est entré en vigueur en mai 2004, et le «Conseil Espace» a adopté en mai 2007 une résolution définissant la base politique de l'espace pour l'Europe. La CE, le directeur général de l'ESA ainsi que les États membres de l'Union européenne et de l'ESA, surveillent et évaluent ensemble la mise en oeuvre de cette politique. La résolution adoptée vendredi fait suite à divers évènements: le lancement réussi et la validation en orbite du satellite GIOVE-B, qui a effectué la démonstration de nouvelles technologies critiques pour le système Galileo; la démonstration dans le cadre du Forum GMES à Lille de services GMES pré-opérationnels; et l'adoption par le Parlement européen et le Conseil du règlement portant sur le développement des programmes GNSS européens, qui clarifie la gouvernance publique de la mise en oeuvre de Galileo. La mise en service du système Galileo et du programme GMES dans les plus brefs délais reste par ailleurs une priorité absolue. Galileo est un système de positionnement par satellitecomparable au GPS des États-Unis. L'initiative GMES, axée sur les utilisateurs, est conçue pour optimiser l'utilisation des capacités, services et centres d'observation (spatiale ou non) de la Terre situés en Europe. Par leur capacité d'observation mondiale et leur couverture à long terme, les programmes spatiaux conviennent parfaitement pour fournir des données scientifiques essentielles dans le domaine de la recherche sur le réchauffement planétaire. Le Conseil souligne que les changements climatiques posent des défis qui concernent l'ensemble de la planète, et qu'il faut donc poursuivre et élargir les programmes spatiaux européens afin qu'ils «puissent apporter les preuves fondamentales nécessaires pour prendre les décisions en matière de politique de l'environnement». Le Conseil a reconnu la contribution à cet objectif du programme Planète vivante de l'ESA, des missions spatiales nationales dans le domaine des sciences de la Terre, d'EUMETSAT et du composant spatial GMES, mais a appelé la communauté scientifique, la CE, l'ESA et EUMETSAT à mettre en commun de manière plus efficace les données concernant le changement climatique et résultant d'observations spatiales européennes et GMES. En outre, il a invité la Commission à évaluer les besoins de la recherche (et à apporter les moyens nécessaires) pour bénéficier de davantage de puissance de calcul et d'un accès complet à des données standardisées. La récente résolution adoptée par le Conseil souligne le besoin d'assurer la sécurité des atouts spatiaux de l'Europe, qui sont devenus indispensables à l'économie, ainsi que l'importance de développer la capacité de l'Europe à «suivre et surveiller son infrastructure spatiale et les débris spatiaux». Elle met également en évidence la nécessité de «définir les modalités et les moyens d'améliorer la coordination entre les programmes spatiaux civils et militaires dans le cadre d'accords sur le long terme», et «d'admettre la dépendance de l'Europe envers des fournisseurs extérieurs pour certains composants et technologies spatiales critiques, de définir des stratégies d�atténuation pour en garantir la disponibilité, et de prendre des mesures pratiques afin de continuer à réduire cette dépendance». Le Conseil considère que l'Europe doit envisager l'exploration spatiale «dans le cadre d'un programme mondial, sans monopole ni appropriation par un seul pays», et a souligné le besoin d'une planification stratégique à long terme de cette exploration. Le Conseil a salué le lancement du laboratoire Columbus de l'ESA ainsi que la réussite des démonstrations du véhicule automatisé de transfert «Jules Verne», en les qualifiant de «véritables projets de développement pour la technologie européenne, et d'éléments essentiels pour s'assurer que l'Europe puisse accéder à la Station spatiale internationale ISS». Le Conseil considère que pour placer l'Europe en tête de l'exploration spatiale, des mesures d'investissement soutenues sont nécessaires. Il a souligné «l'importance de l'exploration spatiale pour inciter les jeunes Européens à embrasser une carrière scientifique et technologique». En ce qui concerne la contribution de l'espace à la stratégie de Lisbonne, le Conseil a attiré l'attention sur le fait que l'exploitation des résultats de la recherche spatiale en matière de hautes technologies peut contribuer à atteindre les objectifs de Lisbonne, au point d'apporter de nouvelles opportunités et des solutions innovantes pour divers services, dans toute l'Europe. En retour, ceci contribuera à réaliser «les ambitions de l'UE en matière d'économie, d'éducation, de société et de l'environnement, ainsi que les attentes de ses citoyens». La résolution explique que les utilisations de l'espace, comme les télécommunications par satellite, les systèmes EGNOS et Galileo, et le programme GMES, «devraient engendrer d'importants débouchés commerciaux sur le marché mondial, notamment pour les PME, grâce au développement de services en aval à valeur ajoutée». Pour optimiser la valeur que les États membres de l'UE peuvent tirer de ces atouts spatiaux, la résolution souligne la nécessité «d'un cadre réglementaire approprié, de l'accès continu aux fréquences radio pour les utilisations spatiales, et du développement de normes dans les domaines concernés». La résolution signale que les grands problèmes qui restent à régler sont de promouvoir une approche cohérente de la coopération internationale en matière de programmes spatiaux, d'assurer un accès ouvert et équitable aux avantages des activités spatiales (en matière de politiques publiques, de données scientifiques, de développement technologique, d'activités industrielles et de services), de garantir un accès continu, autonome, fiable et rentable à l'espace, dans des conditions abordables, de promouvoir le développement d'un cadre réglementaire approprié pour faciliter la création rapide de services en aval innovants et compétitifs, et d'organiser la gouvernance de l'espace conformément à la résolution du quatrième Conseil Espace et aux ambitions politiques de l'UE et de l'ESA. La résolution attire l'attention sur la nécessité de développer «pour l'UE les instruments et les méthodes de financement adéquats, en tenant compte des particularités du secteur spatial, du besoin de renforcer sa [...] compétitivité et de la nécessité d'une structure industrielle équilibrée». Le renforcement de la coopération avec les pays en voie de développement est également considéré comme un domaine d'action prioritaire. L'Union européenne et l'ESA sont des acteurs majeurs du domaine spatial, et leur intention est de faire de l'Europe une grande puissance spatiale sur la scène internationale. La résolution adoptée vendredi par le Conseil souligne que toutes les activités de l'Europe dans le domaine spatial contribuent exclusivement à un usage pacifique de l'espace, ainsi qu'à «la promotion d'une coopération internationale dans l'exploration et l'utilisation de l'espace extra-atmosphérique». Enfin, la résolution reconnaît que les programmes spatiaux européens soutiennent «les efforts continus du Comité des Nations Unies pour l'utilisation pacifique de l'espace (COPUOS) en matière de gestion et des prévention des débris spatiaux».
Pour de plus amples informations, consulter: Agence spatiale européenne: http://www.esa.int/ Conseil de l'Union européenne:

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novembre 1989 Mur de berlin


Space X Fusée privéd





SpaceX : Une première fusée privée en orbite terrestre
(En savoir +)
"Falcon 1", le lanceur à propulsion liquide de la compagnie privée américaine SPACEX (Space Exploration Technologies) a réussit dimanche, à atteindre l'orbite terrestre pour la première fois.
"Space Exploration Technologies Corp. (SpaceX) annonce que le vol 4 de la fusée Falcon 1 a été lancé avec succès et a atteint l'orbite terrestre", indique un communiqué publié lundi. Le deuxième étage de la fusée est en orbite elliptique autour de la Terre entre 500 et 700 km d'altitude et contient une charge utile de 165 kg.Le Falcon 1 est une petite fusée de deux étages haute de 21 mètres, mise au point par SpaceX, une société fondée en 2002 par Elon Musk **.La prochaine fusée Falcon 1 devrait transporter le satellite malaisien "RazakSat". En cas de nouveau succès de lancement, le modèle Falcon 9 - plus puissant - effectuerait son premier vol au 2e trimestre 2009.
** En juin 2002, Musk fonde Space Exploration Technologies (SpaceX), dont il est l’actuel CEO et Chief Technology Officer. La fortune de Musk est estimée à 328 millions de dollars. SpaceX développe et produit des véhicules de lancement spatiaux, en mettant l’accent sur des coûts réduits et une grande fiabilité.

Consommation energie Public Bruxelles







Bruxelles réduit la consommation de l'éclairage public
(src : Europa)
Les Etats membres de l'UE ont approuvé vendredi deux propositions de règlement de la Commission européenne visant à réduire la consommation d'électricité en Europe.
Le premier règlement porte sur les équipements utilisés pour l'éclairage des bureaux, l'éclairage industriel et l'éclairage public. Il vise les produits d'éclairage généralement utilisés dans les bureaux et pour l'éclairage public et industriel: lampes fluorescentes, lampes à décharge à haute intensité et leurs ballasts et luminaires.
Les Etats membres attendent de cette mesure qu'elle réduise la consommation de ces équipements de 15%, alors que les prévisions européennes indiquent une augmentation de 260 TWh par an d'ici à 2020. Les économies annuelles se chiffreraient à 38 TWh, selon les chiffres avancés par Bruxelles (ce qui correspond approximativement à la consommation annuelle d'électricité de la Roumanie) et devraient faire baisser les émissions de CO2 d'environ 15 millions de tonnes chaque année.
Le deuxième règlement concerne les appareils servant à convertir les signaux de télévision numériques en signaux analogiques, appelés «décodeurs numériques simples».
La radiodiffusion étant actuellement en train d'abandonner l'analogique au profit du numérique dans l'UE, les ventes de ces équipements grimperont en flèche dans les prochaines années, de même que leur consommation d'énergie.
Les limites de consommation d'énergie fixées dans le règlement permettront de ramener la consommation de 14 TWh à 5 TWh d'ici à 2014, lorsque l'utilisation des décodeurs simples sera à son maximum.
Pour 2020, la Commission estime que lorsque ces équipements disparaîtront du marché à mesure que les anciens téléviseurs seront remplacés par de nouveaux postes adaptés à la radiodiffusion numérique, on devrait économiser 47 TWh – un chiffre supérieur à la production annuelle d'électricité d'origine nucléaire de la Finlande et de la Slovaquie réunies.
La mesure se traduira également par une réduction d'environ 30 % du coût de ces équipements sur la durée de leur cycle de vie.
Les règlements proposés vont maintenant être soumis au Parlement européen, dans le cadre de sa mission de contrôle. Leur adoption formelle par la Commission est prévue en janvier 2009. Dans les prochains mois, d'autres mesures d'écoconception viendront couvrir des groupes de produits supplémentaires, tels que les lampes utilisées pour l'éclairage domestique.De plus amples informations sur l’écoconception sont disponibles sur le site qui y est consacré (en anglais).

Monday, September 29, 2008

Novembre 1989 Mur de berlin


Inde Nucléaire





Visite du 1er ministre indien : le nucléaire au menu
(src : ONU, AFP)
Le Premier ministre indien Manmohan Singh est en visite en France lundi et mardi. A cette occasion pourrait être signé un accord bilatéral sur le nucléaire civil , qui ouvrirait la voie à 20 milliards d'euros d'investissement dans le nucléaire pour les entreprises françaises.
Lors d'un discours tenu vendredi devant les Nations Unies, le Premier ministre indien Manhoman Singh a souligné que son pays connaissait une "croissance économique rapide". "Notre demande totale en énergie va continuer à augmenter et nous cherchons activement toutes les sources possibles d'énergie propre", a-t-il déclaré. Selon lui, "l'ouverture de la coopération internationale dans le nucléaire civil avec l'Inde aura un effet positif sur la sécurité énergétique mondiale et sur les efforts pour combattre le changement climatique".
Selon les chiffres avancés par la fédération du patronat indien, 60 000 MW de capacité sont nécessaires pour répondre aux besoins du pays. Ce qui se traduirait par des investissements à hauteur de 6 000 milliards de roupies, soit 97 milliards d'euros sur 15 ans, rapporte l'AFP.
Toujours selon la fédération des chambres indiennes du commerce et de l'industrie, les entreprises françaises pourraient prendre une part de 25% dans ces investissements. Outre Areva, l'américain Westinghouse Electric Company, General Electric-Hitachi et Rosatom sont également sur les rangs pour participer au programme nucléaire.

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Immigration Europe





Lundi 29 Septembre 2008
Immigration : Accord sur le pacte européen
[Fenêtre sur l'Europe]
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Le Conseil des ministres de la Justice et des Affaires européennes est parvenu, le 25 septembre, à un accord sur le Pacte européen sur l'immigration et l'asile. Le Pacte sera maintenant soumis au Conseil européen d'octobre 2008, pour adoption.
Le Pacte européen sur l'immigration et l'asile proposé par la présidence française a été approuvé par le Conseil des ministres européens le 25 septembre à Bruxelles.Le Conseil des ministre européens a, également, approuvé une proposition de directive concernant les conditions d'entrée et de séjour des ressortissants de pays tiers aux fins d'un emploi hautement qualifié. Un directive dite "Carte Bleue" par référence à la certe verte américaine.

Espagne Energie



Sunday, September 28, 2008

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Terre Climat réchauffement





Le réchauffement climatique risque d'entraîner une élévation massive du niveau des mers et de diminuer sérieusement les ressources en eau

26/09/2008 à 18:26 par René Tregouët
Selon de récentes études scientifiques convergentes, les changements climatiques menacent sérieusement les ressources en eau de la planète et risquent également d’entraîner une hausse bien plus importante que prévue du niveau des mers. Un rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement publié le 2 septembre révèle que tous les glaciers auront fondu d’ici à la fin du siècle, ce qui devrait mettre en danger l’approvisionnement en eau de centaines de millions de personnes. Ce rapport confirme que la moyenne annuelle des taux de fonte des glaciers a doublé après le tournant du millénaire, avec des pertes record en 2006 au niveau d’un réseau de sites de référence.
Entre 1996 et 2005, les glaciers ont, selon ce rapport de l’ONU, perdu en moyenne l’équivalent en masse d’un mètre d’épaisseur d’eau, ce qui représente le double de la fonte observée durant la période 1986-1995, et plus de quatre fois la masse perdue entre 1976 et 1985. Les rares périodes de gains de masse se trouvent dans les Alpes à la fin des années 1970, au début des années 1980 dans les zones côtières de la Scandinavie et dans les années 1990 en Nouvelle-Zélande. Le programme des Nations Unies pour l’environnement rappelle aussi que l’augmentation moyenne mondiale de la température de l’air est d’environ 0,75°C depuis la fin du 19ème siècle."Les glaciers de l’Himalaya, région où la subsistance de 1,3 milliard de personnes est en jeu, reculent plus rapidement que partout ailleurs dans le monde", affirme Mats Eriksson, responsable du programme pour la gestion de l’eau au Centre international du développement intégré des montagnes. Bien que les hautes altitudes, l’éloignement et la coopération difficile entre les pays de cette région compliquent les études pour comprendre le phénomène, M. Eriksson estime qu’il est évident que "la région est particulièrement affectée par les changements climatiques". "Le recul des glaciers est énorme, jusqu’à 70 mètres par an", précise-t-il.Xu Jianchu, qui dirige le Centre pour les études de l’écosystème montagnard en Chine, assure lui aussi que le changement climatique ravage l’Himalaya, soulignant par exemple que les températures sur le plateau tibétain ont augmenté de 0,3 degré par décennie, "le double, note-t-il, de la moyenne mondiale".Il est difficile de quantifier les répercussions sur les disponibilités en eau, mais l’impact est réel dans la région où glaciers et neige contribuent à 50 % de l’eau qui coule des montagnes et alimente neuf des plus grandes rivières d’Asie. L’Himalaya, connu pour "être le toit du monde", s’étend à travers la Chine, l’Inde, le Népal, le Pakistan, la Birmanie, le Bhoutan et l’Afgas. La chaîne montagneuse constitue une source importante d’eau pour l’une des régions les plus peuplées de la planète, soit 1,3 milliard de personnes recensées dans le bassin de l’Himalaya. "La neige et la glace fondent, fournissant une source très importante d’eau fraîche pour l’irrigation, l’énergie et l’eau à consommer en aval", explique M. Xu.Les glaciers ont d’énormes capacités de conservation de l’eau. Si les niveaux d’eau augmentent à mesure que la glace fond, à long terme, la disparition des glaciers va réduire l’eau disponible en aval. "La subsistance (des populations) sera durement affectée" par ce phénomène, souligne M. Eriksson. Parallèlement à la fonte des glaces, les scientifiques notent que les précipitations dans nombre de régions de l’Himalaya apportent plus de pluie en période de mousson et moins en période sèche. "Les régions plus sèches deviennent encore plus sèches alors que les régions les plus humides deviennent encore plus humides", résume Rakhshan Roohi, chercheuse à l’Institut de recherches en ressources en eau du Pakistan.Selon M. Eriksson, les effets des changements climatiques ont été particulièrement ressentis dans la partie ouest plus sèche de l’Himalaya. Outre les conditions climatiques incertaines pour les récoltes, qui ont provoqué la migration de personnes à la recherche de moyens de subsistance alternatifs, les agriculteurs sont confrontés à un nombre croissant de désastres naturels tels que des crues soudaines et le débordement des lacs. "J’imagine qu’auparavant, la région souffrait d’une crue soudaine par saison et les gens arrivaient peut-être à s’y adapter. Mais si on a trois, quatre ou cinq crues soudaines, c’est probablement trop. La question est de savoir combien (de crues) la population est capable de tolérer sans perdre ses bases de subsistance", conclut M. Eriksson.Une autre étude publiée en août 2008 montre que deux des plus grands glaciers du Groenland sont en passe de se désintégrer. Un morceau de 29 kilomètres carrés du glacier de Petermann dans le nord du Groenland s’est détaché entre le 11 et 24 juillet, ce qui correspond à la moitié de la superficie de Manhattan, a précisé Jason Box, professeur-associé au centre de recherche polaire de l’Université d’Ohio (nord) dans un communiqué. Les précédentes pertes importantes de glaces flottantes subies par le glacier Petermann, à savoir 86 kilomètres carrés, se sont produites entre 2000 et 2001.Mais ce qui inquiète encore davantage Jason Box et son équipe dans les dernières images satellitaires est une énorme brèche partant du bord du glacier Petermann et qui pourrait signaler la brisure prochaine d’une partie beaucoup plus importante. Si la cassure se produit jusqu’au rift en amont du glacier, une portion allant jusqu’à 160 kilomètres carrés pourrait alors se détacher, ce qui représenterait un tiers de la masse du glacier, ont expliqué ces scientifiques. Le glacier a une surface de flottaison de 16 kilomètres de large sur 80,4 kilomètres de long, couvrant 1.295 kilomètres carrés. Ces scientifiques ont aussi indiqué que l’immense glacier Jakobshavn poursuivait sa contraction et que sa bordure n’avait jamais été aussi loin à l’intérieur des terres en 150 ans d’observation.Selon eux, ce glacier ne s’est pas contracté aussi loin depuis au moins 4.000 à 6.000 ans. Le bras nord du Jakobshavn s’est détaché au cours des dernières semaines et le glacier a perdu dix kilomètres carrés depuis la fin de la dernière saison de fonte. Au moins un dixième des icebergs du Groenland proviennent du Jakobshavn, ce qui en fait le glacier le plus productif de cette région. Le glacier a perdu 94 kilomètres carrés entre 2001 et 2005, un phénomène qui a fait prendre conscience de l’ampleur de l’impact du réchauffement climatique sur les glaciers dans le monde, ont relevé ces glaciologues.Une arche de glace de 60 mètres de hauteur et de plusieurs milliers de tonnes s’était subitement détachée le 8 juillet du gigantesque glacier argentin Perito Moreno, un phénomène unique en plein hiver austral. Les scientifiques ont lié cet événement surprenant aux effets du réchauffement du climat. Outre les images fournies par les satellites de la Nasa, l’agence spatiale américaine, les scientifiques de l’Université d’Ohio ont aussi utilisé des données provenant de caméras d’observation des effets du réchauffement climatique au Groenland.En antarctique, la situation n’est pas moins alarmante, comme le montre une étude publiée le 13 janvier 2008 dans la revue ’’Nature Geoscience’’. Selon cette étude, la fonte des glaces s’est accélérée de 75 % en dix ans le long des côtes du continent antarctique pour atteindre 192 milliards de m3 en 2006. Eric Rignot du Jet Propulsion Laboratory de la NASA et l’ensemble des chercheurs ont utilisé des mesures prises par satellites couvrant 85 % de la côte du continent antarctique. D’après les scientifiques, cette fonte des glaces a atteint 132 milliards de m3 sur l’ouest du continent et 60 milliards de m3 dans la péninsule antarctique.Le continent antarctique est le plus vaste domaine polaire de la planète, situé dans l’hémisphère Sud : grand comme une fois et demie les Etats-Unis, il porte suffisamment de glace pour élever le niveau des océans de près de 60 mètres en cas de fonte totale. Alors que si la totalité de la calotte glaciaire du Groenland fond, par comparaison, le niveau des mers du globe montera de sept mètres.Le réchauffement du Pôle Nord est, pour sa part, deux fois plus rapide que celui de l’ensemble de la planète. Les glaces de la région arctique ont fondu à un rythme sans précédent l’an dernier, et le phénomène devrait s’amplifier du fait de la diminution de la réflexion des rayons du soleil sur la neige et la glace (albédo). Grâce aux observations réalisées avec ce satellite, la Nasa a constaté que "l’Arctique a perdu environ 10 % de sa couche de glace permanente tous les dix ans depuis 1980.Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, il est possible de faire le tour du pôle Nord en bateau. De nouvelles images satellite ont démontré que la fonte des glaces a permis l’ouverture des légendaires passages du Nord-Ouest et du Nord-Est. La couche de glace couvre désormais trois millions de kilomètres carrés dans cette région, soit environ un million de moins que les minima enregistrés en 2005 et 2006, selon l’agence. "Au cours des dix dernières années, il y a eu une réduction de la couche de glace d’environ 100.000 km2 par an en moyenne, une baisse d’un million de km2 en seulement un an est donc extrême", souligne Leif Toudal Pedersen, du Centre spatial danois. Selon certaines prévisions, la calotte glaciaire arctique, sensible aux bouleversements climatiques, pourrait disparaître totalement d’ici 2040.Ce réchauffement de l’océan Arctique a eu récemment des conséquences spectaculaires. En septembre, des chercheurs américains et canadiens ont annoncé que la plus importante plate-forme glaciaire de la région arctique, vieille de plus de 3.000 ans, s’était rompue entre 2000 et 2002, une conséquence selon eux du réchauffement climatique à long terme. "Des petits changements concernant la glace pourraient avoir de grandes conséquences sur le cycle de l’eau et finalement sur le climat", selon la Nasa.Les experts internationaux sur le climat (Giec) ont, dans leur dernier rapport officiel remis en 2007, renoncé à extrapoler la hausse maximale du niveau des océans à la fin du siècle, du fait des incertitudes pesant sur la rapidité de la fonte des glaces du Groenland et de l’Antarctique. L’élévation minimale a été fixée à 18 centimètres jusqu’à la fin du siècle par le Giec, qui a renoncé à fixer une limite maximum, auparavant fixée à 59 centimètres. Selon une étude de novembre du Climate Institute australien, le niveau des mers pourrait monter en cent ans de 1,40 mètre. Quand on sait que 630 millions d’habitants habitent dans les zones côtières, on mesure mieux l’ampleur du désastre que constituerait une telle élévation du niveau des mers.Toutes ces récentes études nous montrent de manière convergente que si nous voulons éviter de graves tensions en matière d’accès à l’eau potable ainsi qu’une élévation catastrophique du niveau des mers d’ici un siècle, nous devons absolument réduire de moitié nos émissions de gaz à effet de serre d’ici 2050 et de 80 à 90 % d’ici 2100. Ce défi est immense mais l’humanité n’a pas le choix si elle veut transmettre une Terre vivable aux générations futures.

Maria Carey


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